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WILLIG, Jean George (ca 1710-1790)
Date(s) : 1710 ca / 1790-4-21
Après une carrière dans l'armée où il a peut-être été utilisé comme musicien, Jean George WILLIG devient trompette à la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg [Bas-Rhin] en 1769. Il est encore actif à sa mort au printemps 1790.
• [vers 1710], Strasbourg [Bas-Rhin] : Jean George WILLIG, fils Jean George Willig, vient au monde.
• 6 novembre 1735, Strasbourg : George WILLIG épouse en l'église Saint-Louis Catherine Hélène Graff, fille légitime de Jean Philippe Graff.
• 3 avril 1744, Strasbourg : Lors du baptême de son fils George Joseph WILLIG, il est qualifié de bourgeois et de soldat ("söldner").
• 20 septembre 1744, Strasbourg : Il est trompette lors du Te Deum organisé à la cathédrale pour la guérison de Louis XV.
• 7 avril 1769, Strasbourg : George WILLIG est reçu trompette à la cathédrale Notre-Dame, avec 40 florins (80 livres) de gages.
• 11 avril 1771, Strasbourg : Son salaire annuel passe à 50 florins.
• 1780 ou 1781, Strasbourg : Son salaire est ramené à 40 florins. L'explication pourrait résider dans la réduction de ses activités, liée à son âge avancé.
• 1782-1783, Strasbourg : L'Almanach d'Alsace pour l'année 1783 le signale parmi les musiciens pensionnés par la ville, en tant que trompette. Il réside "près l'hôpital bourgeois".
• 1789, Strasbourg : Jean George WILLIG, affilié à la tribu des Charpentiers, est locataire au n° 40, rue des Balayeurs dite Feggass. Il fait toujours partie des musiciens pensionnés par la ville.
• 21 avril 1790, Strasbourg : Georges WILLIG, bourgeois et trompette à la cathédrale, décède muni des sacrements d'eucharistie et d'extrême-onction à environ 80 ans. Il était veuf de Catherine Hélène Graff (l'acte indique par erreur Marguerite Metzger, qui était la veuve de son fils George Joseph, lequel avait pris l'habitude dès 1769 d'utiliser le prénom de son père). Il est inhumé le 23 au cimetière de la paroisse Saint-Louis en présence de ses fils Hermann WILLIG et Antoine WILLIG, tous deux musiciens. Avant sa mort, il a touché son salaire de 40 florins (80 livres) pour l'exercice 1789-1790.
Mise à jour : 26 septembre 2020