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SPONTIN, à Nibelle (1771- fl.)
Complément de nom : à Nibelle
Date(s) : 1771 /
Attesté en 1771 comme chantre à Nibelle, le sieur SPONTIN n'a pu être clairement identifié. Nibelle [aujourd'hui dans le Loiret] est alors dans le diocèse de Sens, à 37 km au nord-est d’Orléans, en direction de Beaune-la-Rolande. Il y a autour de 1 000 habitants à Nibelle à la veille de la Révolution.
• En 1771, la fabrique paroissiale de Nibelle choisit deux chantres, SPONTIN et HAMET, par ordre de l'archidiacre "pour aider à chanter pendant l’année" en l'église Saint-Sulpice. Ils recevront 10 livres chaque année (soit logiquement 5 livres chacun, ce qui est très peu).
Si le patronyme Hamet est extrêmement répandu à Nibelle, celui de Spontin est beaucoup plus rare. Ainsi le chantre engagé en 1771 pourrait-il être Sulpice-Charles Spontin, qui meurt garçon à 64 ans le 15 avril 1784 et est inhumé le lendemain en présence de ses neveux Sulpice (qui seul sait signer) et Joseph Hamet et Jean Loiseau… Mais aucun indice n'est apparu comme probant dans l’acte, et en l'absence de prénom pour les deux chantres nommés en 1771 il n'a pas été possible d'établir leur identité.
Et par conséquent de savoir jusqu'à quelle date ils avaient exercé.
Les comptes des années les plus proches de la Révolution (1789) mentionnent toujours cette somme de 10 livres versée "aux chantres pour leurs droits de chantres", mais sans livrer leurs noms. Ils n'apparaissent pas particulièrement alors dans le registre paroissial : c'est surtout le sonneur, Jacques Rousseau, qui est présent aux sépultures.
Mise à jour : 29 avril 2019