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SCHNÉE, à Strasbourg (1791-1792 fl.)
Complément de nom : à Strasbourg
Date(s) : 1791-4 / 1792-4
Le tisserand SCHNÉE est employé comme chantre à la succursale de la Citadelle, à Strasbourg [Bas-Rhin], pendant environ un trimestre de l'année 1791 et pendant un mois l'année suivante en l'église paroissiale Sainte-Madeleine, en la même ville.
• Décembre 1791, Strasbourg [Bas-Rhin] : Selon un rapport destiné à la municipalité, le dénommé SCHNÉE a servi pendant près de trois mois comme chantre à la succursale de la Citadelle entre avril ou mai et juillet ou août 1791, à la demande du vicaire du lieu, le sieur Klein. "Il y couroit du centre de la ville et a perdu une montre d'argent dans ces courses", lit-on. Il espérait être placé, mais GAUDRON dit MARTIN, directeur du chant à la cathédrale et chargé du recrutement des chantres et serpents des paroisses, n'a pas fait appel à lui. "C'est un pauvre garçon tisserand réduit aujourd'hui au seul travail de son métier ; il s'est égosillé en pure perte", constate le rapport, qui estime que ce serait faire œuvre de justice et de charité de lui accorder une indemnité pour un mois ou six semaines.
• [1792], Strasbourg : SCHNÉE attend toujours de toucher l'indemnité proposée pour lui, chiffrée à 36 livres. En avril 1792, il a fait le service à la paroisse de la Madeleine à la suite du départ de MOUCHOT. Un autre rapport préconise donc de lui verser la somme de 45 livres, sur le pied de 560 livres par an.
Mise à jour : 10 avril 2021