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ROUY, François (1789 av.-1792 ap.)
État civil
NOM : ROUY     Prénom(s) : François     Sexe : M
Date(s) : 1789 av.  / 1792 ap.
Notes biographiques

L'église Saint-Jean d'Issoudun était accolée à la porte éponyme. Il s'agissait d'une structure modeste, à l'ancienneté attestée, qui ne commence à baptiser qu'à partir de 1782. C'est la seule église à ne pas compter de cimetière. Comme Saint-Denis, elle a souffert, a été réédifiée en 1618, réparée en 1765 et détruite en 1795. François ROUY, chantre relevé entre 1779 et 1791, ne laisse pas d'indications suffisantes pour étayer son parcours : est-il clerc ou laïc par exemple ?

• 1789-1791, Issoudun [Indre] : D'après les registres paroissiaux, François ROUY, dont le prénom n'est cité qu'une fois, est entré en service en 1789. Il est chantre de la paroisse Saint-Jean, dévolu aux inhumations aux côtés du fossoyeur.

En 1790, ROUY est chantre paroissial de Saint-Jean où il exerce avec PICOT, DENIZÉ et BAUDRY. L'examen des registres paroissiaux permet de reconstituer l'effectif de quatre chantres présents lors des inhumations. La fréquence des patronymes ainsi que les milieux endogènes, ne permettent pas d'aller plus loin dans les biographies.

• 1792, Issoudun : ROUY est cité comme chantre de la paroisse constitutionnelle Saint-Cyr avec AVÉE et NAUDIN alors qu'il est toujours actif à Saint-Jean.
• 20 mai 1792 : BAUDRY, PICOT et ROUY, faisant partie du "clergé de Saint-Jean", assistent à l'inhumation de Pierre Bardon, bedeau de l'église, qu'ils ont côtoyé plusieurs années. Il est décédé la veille, était époux de Françoise Chauvignon.

• Après cette date, nous ignorons ce qu'est devenu François ROUY.

Mise à jour : 1er février 2023

Sources
F-Ad36/ BMS Issoudun, St-Jean ; F-Ad36/ G 425

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