JOLIVET, Pierre (1737 av.-1762 ap.)

De nombreuses zones d'ombres entourent encore la vie de Pierre JOLIVET. Après une formation musicale en la psallette de la cathédrale de Saint-Pol-de-Léon [Finistère], il est reçu comme suppôt en ce même lieu avant de partir exercer son art en la cathédrale de Tréguier [Côtes-d'Armor].

• ?, Saint-Pol-de-Léon [Finistère] : Pierre JOLIVET reçoit une formation musicale comme enfant de chœur en la psallette de la cathédrale Saint-Paul-Aurélien.

• 6 avril 1737, Saint-Pol-de-Léon : JOLIVET, suppôt du bas-chœur de la cathédrale Saint-Paul-Aurélien, perçoit 30 livres sur ses gages de l'année courante.

• 26 novembre 1744, Saint-Pol-de-Léon : Le chapitre cathédral délivre une attestation de bonnes vie et moeurs à maître Pierre JOLIVET, "acolite du diocèse de Tréguier" pour le temps où il a été enfant de chœur puis suppôt en la cathédrale de Léon.

On ne sait pas où JOLIVET exerce ses talents à compter de cette date.

• 21 octobre 1746, Tréguier [Côtes-d'Armor] : Sous-diacre d'office de la cathédrale, Pierre JOLIVET touche à compter de ce jour 4 livres "pour sa peine de chanter la taille dans la musique" en plus des distributions qu'il reçoit en qualité de chapelain.
• 16 octobre 1747 : JOLIVET, prêtre chantant la haute-taille, touchera dorénavant 7 livres 10 sols de gages par mois.

• 22 mars 1762 : "prêtre sousacriste chantant la taille à la musique" de la cathédrale, il voit ses gages fixés à 6 livres par mois.

Mise à jour : 29 décembre 2022