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Pour citer Muséfrem
GONDRY, Pierre Antoine [Philippe] (1747 av.-1794)
Date(s) : 1747-4-11 av. / 1794-12-6
D'origine parisienne Pierre Antoine GONDRY, qui utilise le prénom de Philippe à partir de 1750, se fixe à Saint-Quentin, en Picardie, où il exerce le métier de jardinier. Pendant un quart de siècle, il assume les fonctions de chantre à la paroisse Sainte-Marguerite jusqu'à la suppression de cette dernière, en 1791.
• [date inconnue], Paris : Pierre Antoine GONDRY, fils d'Antoine et de Marie Balistram, est baptisé paroisse Saint-Louis-en-l'Île. Nous ne connaissons pas sa date de naissance car son âge n'est jamais mentionné dans la documentation.
• 11 avril 1747, Gibercourt [Aisne] : Pierre Antoine GONDRY, jardinier demeurant depuis deux mois à Saint-Quentin [Aisne], auparavant à Paris, épouse Marie Thérèse Gabriel, fille d'un manouvrier.
• 1747-1750, Gibercourt : Le couple a trois enfants : une fille non prénommée dans l'acte de baptême (23 décembre 1747), Marie Thérèse (toute fin de décembre 1749, baptême connu par l'acte d'inhumation du 14 janvier 1749) et Jean Louis (11 janvier 1750). En 1747-1749, le père signe "Pierre Antoine" mais dans l'acte d'inhumation de Jean Louis, le 20 février 1750, il signe pour la première fois "Philippe" sans qu'on en connaisse la raison.
• 1756-1769, Saint-Quentin : Le couple s'est installé en ville. Huit autres enfants viennent au monde, tous baptisés paroisse Sainte-Marguerite. Il s'agit de Thérèse Rosalie (28 avril 1756), Marie Henriette Félicité (29 août 1757, inhumée le 11 avril 1759 en présence du chantre Charles LESCOT), Marie Anne Victoire (28 mai 1759, inhumée le 12 août 1778), Marie Anne Quentine (premier mai 1761), Jeanne Amable Sophie (20 septembre 1764), Louise Philippine (22 septembre 1766) et François Joseph (11 août 1769). La profession de Philippe GONDRY est toujours celle de jardinier.
• 21 juin 1766, Saint-Quentin : On relève pour la première fois dans le registre paroissial de Sainte-Marguerite la signature de GONDRY comme chantre, plus précisément de second chantre aux côtés de Louis Claude [Antoine] BEDIN.
• [1790], Saint-Quentin : Philippe GONDRY est toujours second chantre de la paroisse Sainte-Marguerite.
• 4 janvier 1791 : BEDIN et GONDRY, toujours en activité, signent un acte de sépulture.
• 25 août 1791, Saint-Quentin : Un concours est convoqué par le conseil général de la commune afin de pourvoir "aux Places des 4 Chantres de Convoy" conservées dans la nouvelle structure paroissiale. Tous les chantres des anciennes paroisses de la ville répondent à la convocation, même si certains d'entre eux, dont GONDRY, décident de ne pas se mettre sur les rangs.
• 6 décembre 1794, Saint-Quentin : "Le citoyen Philippe Gondry infirmier à l'hôpital de Fervacques de st-Quentin, division de Le Camus, natif de Paris [...], entré audit hopital le quatorze du mois de frimaire l'an troisieme y est mort aujourdhui seize frimaire". Son âge n'est pas mentionné.
Mise à jour : 10 mars 2023