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Pour citer Muséfrem
PARQUOT, Jean-Baptiste (ca 1759-1830)
Date(s) : 1759 ca / 1830-3-23
Jardinier comme son père, Jean-Baptiste PARQUOT devient en 1788 chantre et marguillier de la paroisse Saint-Étienne-le-Depenné de Metz. Il conserve ses fonctions cantorales dans la nouvelle structure paroissiale d'Outre-Seille et sans doute dès le rétablissement du culte à l'église Saint-Maximin de Metz, où il est devenu sacristain.
• [1759], Metz [Moselle] : Jean-Baptiste PARQUOT, fils de Nicolas, jardinier et de Jeanne Tarron, voit le jour.
• 28 novembre 1780, Metz : Âgé de 21 ans, il se marie paroisse Saint-Maximin avec Catherine George, 20 ans.
• 1781-1789, Metz : Quatre enfants au moins sont baptisés paroisse Saint-Étienne-le-Depenné. Il s'agit de Jean-Baptiste (29 août 1781), Catherine (17 août 1782), Jean-Baptiste (25 septembre 1784), Élisabeth (28 mai 1787) dont le parrain est le chantre paroissial François Martin LOYAUTÉ et Louis Alexandre (22 août 1789).
• 16 décembre 1788, Metz : Jean-Baptiste PARQUOT, chantre et marguillier de la paroisse Saint-Étienne-le-Depenné signe comme parrain du fils du cuisinier de l'abbaye Saint-Vincent. Le 14 juin précédent, C'est François Martin LOYAUTÉ qui est encore en fonction. Avant cette date, PARQUOT est toujours présenté comme jardinier, conserve-t-il cette activité après avoir obtenu ses fonctions cantorales ?
• 18 mai 1791, Metz : Suite à un concours, Jean-Baptiste PARQUOT est nommé par la municipalité second chantre de la paroisse d'Outre Seille établie dans l'ancienne église Saint-Martin, aux côtés de François CADET qui est de surcroît chargé de l'enseignement des quatre enfants de chœur.
• 5 février 1810, Metz : Il est sacristain de la paroisse Saint-Maximin lorsqu'il signe au mariage de leur fils Jean-Baptiste avec Françoise Lelonge, fille d'un propriétaire.
• 23 mars 1830, Metz : Jean-Baptiste PARQUOT occupe toujours les mêmes fonctions au moment de son décès à 11 heures du matin à son domicile du 29, rue Vigne Saint-Avold.
Mise à jour : 30 octobre 2020