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LOYAUTÉ, François Martin (1765-1821)
Date(s) : 1765-11-11 / 1821-7-8
Fils de chantre, François MARTIN LOYAUTÉ exerce comme son père dans une paroisse de Metz, d'abord à Saint-Étienne-le-Dépenné puis à partir de 1788 à celle de Saint-Victor où se dresse la cathédrale. Après la fermeture de la paroisse, il se consacre à ses activités de marchand cirier jusqu'à son décès sous la Restauration.
• 11 novembre 1765, Metz [Moselle] : François Martin LOYAUTÉ, fils de Louis, chantre marguillier à la paroisse Saint-Gorgon et de Catherine Philippe vient au monde et il est baptisé le lendemain dans cette paroisse.
• 13 juillet 1784, Metz : Chantre et marguillier de la paroisse Saint-Étienne-le-Dépenné, il signe comme parrain au baptême du fils d'un maçon, la marraine est Élisabeth Henrot, sa promise.
• 22 septembre 1784, Novéant-sur-Moselle [Moselle] : François Martin LOYAUTÉ, chantre marguillier de la paroisse Saint-Étienne-le-Dépenné, de droit de la paroisse Saint-Eucaire où son père est chantre et marguillier, épouse Élisabeth Henrot, âgée de 19 ans, fille de Nicolas HENROT, premier chantre musicien de l'église primicière de Wissembourg en Alsace.
• 28 mai 1787, Metz : Il signe paroisse Saint-Étienne-le-Dépenné comme parrain d'Élisabeth, fille de Jean-Baptiste PARQUOT, jardinier et de Catherine Georges. Ce dernier lui succédera bientôt dans ses fonctions cantorales.
• 13 juillet 1788, Metz : François Martin LOYAUTÉ signe pour la première fois au bas d'un acte de sépulture comme marguillier de la paroisse Saint-Victor. Le 14 juin précédent, il était encore en poste à Saint-Étienne lors du baptême de leur fils Louis dont le parrain est Louis LOYAUTÉ.
• 23 avril 1791, Metz : Il signe pour la dernière fois comme marguillier avant la fermeture de la paroisse Saint-Victor. On possède un registre des comptes de fabrique pour la période 1788-1792. LOYAUTÉ perçoit 404 livres de gages annuellement comme marguillier et chantre plus 6 livres au titre de la confrérie du Saint-Sacrement. Le fabrique rémunère aussi un sous-chantre, GIRARD et l'organiste Pierre Antoine Jean-Baptiste GODFRIN, il y a aussi deux vergers (bedeaux).
• 15 août 1791, Metz : Marchand cirier, demeurant paroisse épiscopale, il signe à l'inhumation de son père dans le cimetière de l'ancienne paroisse Saint-Eucaire.
• 8 novembre 1792, Metz : Élisabeth Henrot, femme de François Martin LOYAUTÉ, marchand cirier demeurant place de Chambre, paroisse du Centre [ce dernier absent de la ville en raison de ses affaires], accompagnée de sa belle-mère Catherine Philippe et de sa sœur Marguerite Henrot, vient déclarer sa fille Marguerite Catherine Françoise, née à Briey [Meurthe-et-Moselle] le 30 octobre précédent alors qu’elle rendait visite à une connaissance après le retrait de l’ennemi.
• 9 juillet 1821, Metz : François Manginot, 57 ans, aubergiste et Noël MULEUR, sacristain de la paroisse Saint-Vincent, 74 ans déclarent le décès survenu la veille à 9 heures du soir à son domicile rue de la Tête-d'or, de François Martin LOYAUTÉ, marchand cirier, âgé de 55 ans, époux de Élisabeth Henrot.
Mise à jour : 31 octobre 2020