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SUREAU, Jean Henry (1773-1826)
Date(s) : 1773-1-1 / 1826-6-3
Fils du maître d'école de la paroisse Saint-Médard de Maisse, petite localité située à 60 kilomètres au sud de Paris, près d’Étampes, Jean Henry SUREAU chante à l'office en 1789-1790 avant de succéder à son défunt père. Peu après, il s'installe à Étampes, exerçant la profession de chapelier. A l'occasion de son troisième mariage, on le retrouve en 1819 comme instituteur en primaire à Malesherbes, dans le Loiret, où il meurt en 1826.
• 1er janvier 1773, Maisse [Essonne] : Jean Henry SUREAU vient au monde et on le baptise le lendemain paroisse Saint-Médard, l'un des deux de cette petite localité. Il est le fils de Jean, recteur des petites écoles et de Marie Delafosse; le parrain a été Henry Pierre Delafosse, procureur au bailliage de Boutigny [sic].
• 15 octobre 1789-12 mars 1790, Maisse : Jean Henry SUREAU est présenté comme choriste de la paroisse Saint-Médard dans deux actes d'inhumation.On relève aussi les signatures de Henry FISSERET et Pierre Hospice PINEAU comme choristes.
• 3 juillet 1790, Maisse : Il signe comme "recteur des petites écoles" comme témoin lors d'une sépulture dans le registre de la même paroisse. Il doit continuer à chanter.
• 16 janvier 1797, Étampes [Essonne] : Devenu chapelier, et demeurant "depuis longtemps" dans cette commune, il épouse Louise Adélaïde Boivin. Cette dernière meurt quelques semaines plus tard, et on l'inhume à Étampes le 21 avril.
• 28 juin 1797, Étampes [Essonne] : Il se remarie presque aussitôt avec la fille d'un laboureur de Mérouville, Marie Marguerite Leprince. Il exerce toujours sa profession de chapelier. et demeure au hameau du Perray
• 12 août 1819, Malesherbes [Loiret] : Jean henry SUREAU a retrouvé une activité dans l'enseignement lorsque"il se remarie avec la fille d'un marchand charcutier, Cécile Bordry. On le présente comme "instituteur en primaire". Il est possible que François Martin Couppé, 22 ans, élève en droit, qui signe au bas de l'acte soit l'un de ses anciens élèves.
• 3 juin 1826, Malesherbes [Loiret] : Il s'éteint à son domicile à dix heures du soir. le lendemain son beau-père et Jacques Louis Grégoire Renault, jardinier son beau-frère, déclarent son décès.
Mise à jour : 26 janvier 2019