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PARIGOT, Étienne (1767-1828 ap.)
Date(s) : 1767-3-1 / 1828 ap.
Durant la décennie 1780, Étienne PARIGOT est chantre de l'église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur de Rebourseaux, paroisse du diocèse de Sens, éloignée de presque 50 km de cette ville, mais à 8 km au sud-ouest de Saint-Florentin. C'est dans cette paroisse qu'il était né le 1er mars 1767.
Il officie souvent en compagnie d'un autre chantre, François MOREAU, comme par exemple le 30 juillet 1789, où les deux chantres signent avec aisance un acte de sépulture, en compagnie du marguillier Pierre Croisée.
• Le 8 février 1790, à Rebourseaux, Étienne PARIGOT épouse Magdelaine Viellard, orpheline de parents laboureurs et habitant le hameau de la Rüe Feuillée, paroisse de Ligny, diocèse de Langres. En réalité La Rue Feuillée est à moins de 7 km au sud est de Rebourseaux, et c'est sans doute là que le jeune couple s'installe aussitôt puisque leurs enfants sont ensuite baptisés à Ligny. Étienne Parigot est alors qualifié de laboureur et rien dans les registres de Ligny ne laisse apparaître qu'il ait continué à être chantre.
L'enquête le concernant s'est donc arrêtée là.