Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
LÉVÊQUE, Louis (1785 av.-1790 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : LEVESQUE
Date(s) : 1785 av. / 1790 ap.
Un bref passage dans les sources en tant que "sous-chantre" de l'hospice de la Charité à Beaune vaut à Louis LEVÊQUE de figurer dans la base Muséfrem.
• 28 mars 1785, Beaune : À cette date, pour la première fois on voit Louis LEVÊQUE participer à une sépulture de l'hôpital de la Charité, en compagnie d'Ambroise MATROT : tous deux sont dits "sous chantres dudit hôpital". Le nouveau chantre remplace Jean-Louis LEVESQUE qui officiait antérieurement, et qui signait de manière clairement différente. Depuis 1766, le prêtre desservant la Charité est François RENEVEY, par ailleurs prêtre habitué à la collégiale Notre-Dame et ancien enfant de chœur.
• 1790, Beaune : À l'hôpital de la Charité, si le prêtre François RENEVEY est devenu "directeur" en 1786, le personnel chargé du chant lors des cérémonies est resté stable depuis cinq ans. Ambroise MATROT et Louis LEVÊQUE sont toujours "sous chantres dudit hôpital". S'ils ne sont visibles dans les sources qu'à l'occasion des sépultures, nul doute que ces deux chantres participaient aussi au chant de la messe, a minima de la messe dominicale, peut-être de la messe quotidienne. Outre les orphelins et les vieillards "fondés", l'hôpital regroupe une communauté de religieuses, régie par une Supérieure, qui ont une messe chaque jour (mais est-elle basse ou chantée ?).
Une attestation signée RENEVEY indique qu'il n'y a pas eu de sépulture à l'Hôpital de la Charité durant l'année 1791. Le registre 1792 n'a pas été trouvé parmi les BMS numérisés mis en ligne.
Puis la laïcisation de l'état civil fait disparaître les chantres du ci-devant hospice de la Charité – rebaptisé un temps "Hospice de l'Humanité"...
Mise à jour : 11 mars 2018