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Pour citer Muséfrem
FÉTU, Michel (ca 1767-1788 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : FESTU
FOETU
FETTU
Date(s) : 1767 ca / 1788 ap.
Michel FÉTU, apparaît comme enfant de chœur à la collégiale Saint-Martin d'Angers entre 1782 et 1787. Sa situation est ambigüe car il succède à son homonyme René FÉTU, enfant de chœur promu à la psallette de la cathédrale Saint-Maurice. Sa sortie de l'effectif martinien correspondra peu ou prou au retour à Saint-Martin du même René FÉTU comme psalteur. Il aurait en quelque sorte exercé comme suppléant. Par ailleurs, aucune indication biographique ne permet à ce jour de le rattacher à l'une des familles FÉTU angevines.
• [1767] : Michel FÉTU est probablement venu au monde vers 1767 dans un lieu encore méconnu. Les familles Fétu sont en nombre à Angers, attachées à leurs collégiales respectives, mais aucun Michel FÉTU n'a pu à ce jour être décelé entre 1760 et 1777. Peut-être sa famille était-elle originaire d'une autre province ?
• 2 mai 1782, Angers : Le nom de Michel FÉTU n'apparaît qu'en 1782 dans les registres de bourse de Saint-Martin. Une lecture attentive permet de conclure que Michel FÉTU a été successivement petit enfant de chœur quatre mois, puis quatre mois grand enfant de chœur. Le versement qui lui est fait est de "8 mois de ses gages de l'an y compris 4 lt pour 4 mois de ses gages de petit enfant de chœur", soit 70 lt 13 s 4d, une rémunération cohérente avec les usages du chapitre.
• 2 mai 1782-1787, Angers : Michel FÉTU est reçu grand enfant de chœur au moment où René FÉTU est engagé à la psallette de la cathédrale Saint-Maurice. Le montant des gages de Michel FETU est de 100 lt par an au fil de ces années.
• 6 décembre 1787, Angers : Les chapitres angevins participent volontiers à la formation de leurs enfants de chœur au moment de leur sortie de la psallette, ce dont bénéficie le jeune Michel FÉTU. En effet, le chapitre acte la conclusion d'un marché d'apprentissage entre Brault maître fabricant de bas et leur ex-enfant de chœur promu pour la circonstance "psalteur". Selon les termes du marché, le fabriqueur verse au maître d'apprentissage la somme de 220 lt en deux termes.
• 13 janvier 1787, Angers : Cette décision intervient alors que ces messieurs ont reçu psalteur en janvier 1787 René FÉTU, ancien enfant de chœur tant de Saint-Martin que de la cathédrale Saint-Maurice qui restera en fonction jusqu'en 1790 et s'illustrera musicalement à Angers.
• 1788, Angers : Michel FÉTU ne fait plus partie de l'effectif cantoral de Saint-Martin. Il s'efface sans laisser d'informations.
Mise à jour : 16 novembre 2019