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Pour citer Muséfrem
BOUILLOT, à Fougères (1772 av.-1774 ap.)
Complément de nom : à Fougères
Autre(s) forme(s) du nom : BOUILLIOT
Date(s) : 1772 av. / 1774 ap.
BOUILLOT – dont on ignore actuellement le prénom – est prêtre. Il doit de figurer dans la base de données Muséfrem au fait que de 1761 (au moins) à 1774 il ait été chargé de l'éducation des enfants de chœur de l'église paroissiale de Saint-Léonard à Fougères, en Bretagne. À ce titre, il a sans doute été l'un des maîtres de François GRANGER, futur organiste.
• 1761-1762, Fougères [Ille-et-Vilaine] : Dans les premiers comptes de la fabrique paroissiale Saint-Léonard dépouillés, Mr BOUILLIOT reçoit 100 livres "dont 50 livres pour l’instruction des enfants". La somme semble couvrir une année entière de service, de novembre 1761 à novembre 1762 (dans cette église, l'année comptable court de novembre à novembre, saint Léonard oblige, fêtée le 6 novembre). Les fabriciens de Saint-Léonard rémunèrent en même temps un organiste, qui est alors Jean MOYNET, et une souffleuse d'orgue, "La Paillard", payée 12 livres par an.
• 1763, Fougères : La situation est équivalente, si ce n'est que la somme reçue par BOUILLOT – dont il est précisé qu'il est prêtre – se décompose en 60 livres "pour le port du dais" et 40 livres "pour l’instruction des enfants de cœur" [sic].
• [Vers mi-1772], Fougères : Alors que durant les années précédentes, de 1768 à 1771, aucun nom n'apparaissait dans les comptes de la fabrique Saint-Léonard comme pouvant être celui du maître des enfants de chœur, on retrouve celui du prêtre et bâtonnier BOUILLOT "pour l’éducation des enfants de cœur" [sic]. Il est probable qu'il s'agisse du même homme que durant les années 1760, mais il pourrait avoir eu une interruption dans son service : en effet, il ne semble avoir (re)pris ce poste qu'à partir de mi-1772 environ (puisqu'il ne touche que 40 livres la première année où il est nommément mentionné).
• 1773-1774, Fougères : Toujours bâtonnier, BOUILLOT est clairement attesté dans la fonction de maître des enfants de chœur jusqu'en novembre 1774. BOUILLOT reçoit 100 livres pour une année complète "comme Battonnier et instruisant les enfants de cœur" [sic]. Les fabriciens de Saint-Léonard rémunèrent en même temps un organiste, qui est alors Louis DEMOISEAU.
• 1775 : Le poste de maître des enfants de chœur de Saint-Léonard de Fougères est confié à un dénommé MALHERBE.
Mise à jour : 27 février 2020