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BELIN, Louis Simon (1753-1827)
État civil
NOM : BELIN     Prénom(s) : Louis Simon     Sexe : M
Date(s) : 1753-3-15   / 1827-3-4 
Notes biographiques

• 15 mars 1753, Vermenton [Yonne] : Dans cette petite ville du diocèse d'Auxerre, une partie de la population exerce une activité agricole. C'est le cas de Louis Belin, qui est vigneron lorsque son fils Louis Simon naît de son mariage avec Marie Tillien. Le parrain de l'enfant est boulanger, sa marraine femme d'un cordonnier.

• 15 février 1779, Vermenton : Louis Simon BELIN épouse Jeanne Guéneau, fille d'un cordonnier. Parmi les présents signataires de l'acte on remarque Charles CANTIN. Lors du baptême, le 4 décembre 1779, puis de l'inhumation un an plus tard, de leur premier enfant, Louis Simon Belin est dit tonnelier. Ces années-là, c'est Edme DOISTAU qui est «l’un de nos chantres» le plus souvent présent aux inhumations. Si Louis Simon Belin chante déjà au lutrin, ce n'est pas en tant que premier chantre, et ce n'est pas lui qui assiste le curé lors de sépultures.

• Jusqu'en février 1789, le chantre le plus visible dans le registre paroissial est toujours Edme DOISTAU. Il est remplacé par François BOUDARD puis Maurice Michel LINARD.

• Dès le tout début de 1790, et ensuite durant toute l'année, c'est Louis Simon BELIN, «l’un de nos chantres», qui signe régulièrement les actes de sépulture de la paroisse de Vermenton. Le registre paroissial de la même année révèle épisodiquement au moins deux autres chantres : Maurice Michel LINARD et Charles CANTIN. La paroisse salarie par ailleurs deux sonneurs, Michel et Edme Laurent qui ne savent pas signer. Quant au recteur des écoles, il se nomme alors Michel Monnot.
• Pendant quelques jours en novembre 1790, Louis Simon BELIN cède la place à Charles CANTIN, «l’un de nos chantres», qui est témoin et signe plusieurs actes de sépulture consécutifs avant que BELIN ne reprenne ce rôle.

• 6 février 1791 : Un fils de Louis Simon BELIN, tonnelier, et de Jeanne Guéneau, est porté sur les fonts baptismaux par Marie Bourdillat, femme de Charles CANTIN, taillandier. Il meurt trois jours plus tard.
• 4 avril 1791, Vermenton : Louis Simon BELIN, «l’un de nos chantres», assiste à la sépulture d'une fille de Maurice Michel LINARD qui est lui aussi chantre de l'église paroissiale.

• 3 mars 1827, Vermenton : Vers 7 heures du soir, Louis Simon BELIN décède en sa maison sise à Vermenton rue de la Croix Monnot. Il est alors veuf de Jeanne Gueneau et qualifié de "propriétaire".

Sources
F-Ad89/ état civil en ligne

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