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VARANNE, Claude (1779 av.-1791 ap.)
État civil
NOM : VARANNE     Prénom(s) : Claude     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : VARENNE
Date(s) : 1779 av.  / 1791 ap.
Notes biographiques

La paroisse d'Olivet, située immédiatement au sud d'Orléans, à une lieue de la cathédrale, sur la rive gauche du Loiret, compte environ 3 000 habitants en 1790. Cela lui permet de rémunérer un personnel non négligeable : au moins un sonneur et un bedeau, et trois hommes chargés du chant. Claude VARANNE est l'un d'eux.

• 1779-1780, Olivet : : Dans le premier compte dépouillé de la fabrique paroissiale (année comptable allant des Rogations 1779 aux Rogations 1780), les chantres rémunérés sont déjà Claude VARANNE et Pierre LEPAGE. Le maître d’école et chantre est Louis BEAUCHET.

• Mai 1785 : Les trois mêmes hommes reçoivent leurs honoraires de chantre pour l'année écoulée. C'est la dernière trace de BEAUCHET. Peu après, il est remplacé à l'école – et conséquemment au lutrin – par Jean-Christophe TRAHOT.

1790, Olivet : Des Rogations 1790 aux Rogations 1791, la fabrique a rémunéré trois hommes pour assurer le chant à l'église paroissiale Saint-Martin. Jean-Christophe TRAHOT, le maître d'école a reçu 86 livres "pour ses honoraires de chantre", Pierre LEPAGE a reçu 80 livres "pour avoir occupé la place de chantre pendant un an" et Claude VARENNE [VARANNE], chantre, a touché 15 livres d’honoraires "pour avoir porté la chape". La formulation laisse entendre que le premier chantre de la paroisse est le maître d'école, comme c'est d'ailleurs souvent le cas, et que Claude VARANNE avait eu un rôle un peu secondaire dans le dispositif (au vu de la somme touchée).

Les VARANNE sont nombreux à Olivet au même moment, pour la plupart vignerons, et il est difficile de discerner lequel apportait le concours de sa voix aux offices.

Mise à jour : 30 juin 2019

Sources
F-Ad45/ 56J 13

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