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VOILLEMONT, Pierre (1750-1814)
État civil
NOM : VOILLEMONT     Prénom(s) : Pierre     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : WOILLEMONT
VOILEMONT
Date(s) : 1750-3-13   / 1814-6-1
Notes biographiques

Pierre VOILLEMONT (1750-1814), originaire de Champagne où il a été formé à la musique, a accédé jeune au poste de maitre de musique, d'abord à Troyes puis à Angers, où il s’installe définitivement. La qualité de ses compositions contribue à sa notoriété et le conduit à postuler à Notre-Dame de Paris en 1788 puis à décliner le poste convoité. Prêtre jureur et vicaire général de l'évêque constitutionnel d'Angers, il quitte ensuite le sacerdoce pour se marier. VOILLEMONT est avant tout un musicien, maître de chapelle, compositeur, chef d’orchestre et professeur de musique.

 ••• Jusqu’à ses 25 ans Pierre VOILLEMONT vit en Champagne où il suit le parcours classique d’un jeune musicien d’église d'abord enfant de chœur. Il fait preuve d’une habileté particulière qui aurait attiré l'attention de François GIROUST.

• 13 mars 1750, Troyes : Fils d'un compagnon tisserand, Pierre VOILLEMONT naît et est baptisé paroisse Saint-Rémi.

• 1756, Troyes : Pierre VOILLEMONT devient enfant de chœur à la collégiale Saint Étienne. À 11 ans selon Choron, il fait exécuter de ses compositions.

• 1769, Troyes : Il a 19 ans, est promu maître de musique, probablement dans la même église. Choron relate qu'il a les faveurs de François GIROUST, tout récemment devenu maître de chapelle aux Innocents de Paris (fin mai 1769). Pierre VOILLEMONT se serait rendu plusieurs fois à Paris pour y recevoir ses leçons.

••• Après avoir grandi et avoir été formé à Troyes, Pierre VOILLEMONT est recruté par le chapitre de la cathédrale Saint-Maurice d’Angers sur recommandation conjointe de l'abbé ROZE et de GIROUST. Son aura va rapidement dépasser le parvis de la cathédrale l’amenant à faire rayonner des musiques par toute la ville quel que soit le régime politique.

• Avril 1775, Angers : Auditionné par le chapitre cathédral sur les recommandations de Nicolas ROZE (maître de musique démissionnaire), lui-même ami de GIROUST, Pierre VOILLEMONT est reçu maître de musique de Saint-Maurice. Il reçoit 100 livres pour son voyage depuis Troyes. Il est alors sous-diacre. Selon C. Port il débute à Angers en donnant un Salve Regina et un O Filii.
• 8 mai 1775 : VOILLEMONT reçoit 100 livres supplémentaires par an pour enseigner la basse aux enfants de chœur les plus doués. Il en sera de même les années suivantes. Le chanoine Poirier dans son ouvrage sur la musique à la cathédrale d'Angers (1984) précise qu'il "jouit des bénéfices des chapelles" mais que "le régisseur Poulain [le chantre] ,garde une part de l'administration".
• 31 mai 1775 : À l'occasion de la béatification de la fondatrice des Ursulines, VOILLEMONT fait chanter un motet de sa composition. Fraîchement arrivé dans la ville, il est qualifié de "Nouveau maître de musique" par les Affiches d'Angers.

• 20 décembre 1776 : Sa rémunération est modifiée, il reçoit désormais 153 livres 14 sols 3 deniers chaque mois. Des rentes supplémentaires lui sont attribuées d'après Poirier qui portent sa rémunération totale à 1453 livres.

• 28 mai 1777 : Pierre VOILLEMONT obtient du chapitre cathédral trois mois de congé pour se rendre à Paris afin d'y prendre des leçons de musique et de composition. Le chapitre lui accorde pour cela 120 livres de gratification, ainsi que les 100 livres qu'il reçoit chaque année "pour enseigner aux enfants de chœur à jouer des instruments". Toutefois, la seconde moitié de la gratification (soit 60 livres) ne lui sera versée que "2 à 3 mois après son retour dudit Paris", et seulement si les chanoines perçoivent qu'il a fait "des progrès dans la musique qui puissent le rendre plus capable de composer de bonne et nouvelle musique".

• 1780, Angers : Le Chapitre prend en charge l'entretien des enfants ; seules les chaussures restent à la charge du maître. Selon Poirier, VOILLEMONT organise des concerts avec BARDOUL dans une salle de la Mairie tous les vendredis à 4h. Ils sont réservés aux abonnés et autorisés par le chapitre à condition qu'il n'y ait "pas d'orchestre ni autre construction" (Am B 127,86)

• 16 novembre 1781, Angers : VOILLEMONT compose et fait interpréter deux motets, lors d'un Te Deum en l'honneur de la naissance du Dauphin. C'est un succès.

• 2 janvier 1783, Angers : Il compose et fait jouer une nouvelle pièce, en continuité du Te Deum entonné par l'évêque pour fêter la paix qui vient d'être signée avec l'Angleterre.
• 23 septembre 1783 et 1784, Angers : Pierre VOILLEMONT reçoit une prime de 60 livres de gratification à l'occasion de la fête de Saint-Maurice.
• 19 novembre 1784, Angers : Le maître de chapelle est augmenté de 300 livres par an. Il est également déchargé de l'entretien des souliers des enfants de chœur. cette charge reviendra dorénavant au chapitre.
• 17 décembre 1784, Angers :  Pierre VOILLEMONT a reçu une lettre de candidature spontanée d'un musicien de Soissons, haute-contre, qui souhaite intégrer le chapitre d'Angers.
• 1784, Angers : Selon Poirier, c'est cette année-là que Pierre VOILLEMONT est ordonné diacre.

• 11 mars 1785, Angers : L'hebdomadaire Les Affiches d'Angers annonce un concert donné au profit des pauvres, au cours duquel sera chanté un Motet que VOILLEMONT a lui-même déjà donné en concert à l'église Saint-Laud.
• 1785, Nantes : Selon le chanoine Poirier, VOILLEMONT est ordonné prêtre à Nantes en cette année 1785, aux Quatre-Temps de Pentecôte. Il s'agit d'une ordination tardive, puisqu'il est âgé de 35 ans après avoir été sous-diacre pendant au moins 9 ans.
• 24 mai 1785, Angers : VOILLEMONT célèbre sa première messe en la Cathédrale Saint-Maurice d'Angers. On y chante des pièces tirées de l'œuvre même du nouveau prêtre. Le compte rendu rapporte la présence des musiciens du Concert qui se joignent aux musiciens de la cathédrale pour jouer des morceaux connus. La célébration est suivie d'un grand festin où se mêlent tous les musiciens. Il est aussi indiqué que des concerts sont donnés pour le bénéfice des pauvres. Les enfants de la psallette sont autorisés à y participer. Le maître de musique favorise la porosité entre les milieux musicaux de la ville. VOILLEMONT est et sera un musicien actif quels que soient les groupes ou les temps politiques.

• Pâques 1786, Angers : VOILLEMONT fait chanter une composition nouvelle dans la cathédrale, le Salut selon C. Port, à comprendre vraisemblablement comme le Domine Salvum fac cité ci-dessous. Les enfants de chœur se distinguent, ainsi que le haute contre Étienne BARDOU, qui chante "avec un sentiment & une grâce inexprimables". VOILLEMONT reçoit pour cela 120 livres supplémentaires.
• 16 août 1786, Angers : VOILLEMONT est parrain de Pierre Marie Bérard, fils du serpent-basson François Joseph BÉRARD. C'est le début de liens étroits entre les deux familles puisque VOILLEMONT épousera la belle-sœur de BÉRARD.

• Avril 1787, Angers : Deux des compositions de "M. l’abbé de WOILLEMONT" sont chantées lors d'un concert donné au bénéfice des pauvres. Le rédacteur des Affiches les classe parmi les "chefs-d’œuvre des grands Maîtres".
• 13 juin 1787, Le Puy Notre-Dame [M&L] : Les registres capitulaires du Puy Notre-Dame -alors du diocèse de Poitiers- recèlent un mémoire de Pierre VOILLEMONT, Maître de psallette concernant ses différentes prestations au bénéfice de la collégiale au cours de l'année. Outre le charbon des encensements et le fagot pour allumer le charbon sont facturées les antiennes chantées selon la fête célébrée, les rétributions des intervenants ou le déjeuner du dimanche des Rameaux. Si cette pièce comptable correspond à des prestations effectuées à Angers pour le compte du Puy-Notre-Dame elle interroge sur les relations entre des églises de diocèses distincts.

• 1er mars 1788, Paris : VOILLEMONT participe au concours organisé par le chapitre de la cathédrale Notre-Dame afin de remplacer le maître de musique Jean François LE SUEUR. VOILLEMONT concourt et obtient le poste qu'il finira par décliner.
• 19 mars 1788, Angers : Pour retenir son maître de psallette qui “se trouve dans le cas d’accepter une place fort avantageuse dans l’église de Notre-Dame de Paris", le chapitre de la cathédrale d'Angers fait à VOILLEMONT une promesse de rente viagère de 800 livres par an à partir de l’âge de 50 ans. Poirier précise que cette somme est 8 fois plus élevée qu'une retraite pour le même poste vingt ans plus tôt. Le chapitre justifie sa générosité au regard de "ses talents, sa conduite, ses bonnes mœurs et son bon caractère" ainsi que l'a relevé C. Port.
• 2 avril 1788, Paris : Le chapitre de Notre-Dame prend connaissance de la réponse négative de VOILLEMONT "dans laquelle lettre après avoir exposé les nouvelles marques de bonté qu'il vient de recevoir du chapitre d'Angers et qu'il ne croit pas pouvoir honnêtement rejetter malgré le désir sincere qu'il auroit d'etre attaché à l'Eglise de Paris, il supplie MM. de bien vouloir lui rendre la parole qu'il leur avoit donnée de venir occuper leur maitrise aussitôt après Pâques".

1790, Angers : Pierre VOILLEMONT est toujours maître de psallette de la cathédrale Saint-Maurice d'Angers. Il est également bénéficier, titulaire de la chapelle Saint-Nicolas en l'église Saint-Maurice. Ses revenus sont de 1 200 livres y compris le revenu de son bénéfice de 300 livres tournoi.
Outre l'organiste Pierre Joseph COLETTE, le corps de musique de Saint-Maurice dirigé par VOILLEMONT comporte alors trois joueurs de serpent ou de basson, François Joseph BÉRARD, Gabriel POCHARD et Louis LEBLANC, et les chanteurs et psalteurs Étienne BARDOU, Louis François GUILLET, Armand-Fidèle LEGAY, Pierre Frédéric PAIMPARÉAntoine PARMENTIER, Pierre-Antoine POIDEVIN, Guillaume François ROSÉ, Jean François SOUPLY, Jean-René POHU, ainsi que l'épistolier Louis Pierre Loir MONGAZON aîné, et le joueur de basse Charles PELLETIER.

•••  Voillemont adopte avec enthousiasme la Révolution commençante et met son art à son service. Quoique prêtre, il se marie à la fin de l'année 1793.

• 5 février 1791, Angers : Le directoire du département adresse le tableau des traitements des officiers des chapitres d'Angers au Comité ecclésiastique. Le district et le département proposent d'accorder à VOILLEMONT un traitement de 1 100 livres tournoi. Il est âgé de 40 ans.
• 4 septembre 1791, Angers : VOILLEMONT prête le serment civique. Prêtre jureur, il est nommé ensuite Vicaire général de l'évêque constitutionnel du diocèse d'Angers. Mais il continue de "pratiquer son art". Sa production musicale au service de la patrie est abondante.
• 18 septembre 1791, Angers : Il est nommé par les électeurs du district d'Angers curé constitutionnel du Louroux-Béconnais, poste qu'il refuse. Il est alors nommé grand vicaire constitutionnel de l'évêque "intrus" de Maine et Loire jusqu'à son mariage en 1793.
• 1791-1793, Angers  : Son traitement de 1100 livres par an lui est payé par trimestre, 275 livres à chaque fois.

• 11 octobre 1792, Angers : Chargé de faire chanter la Marseillaise,"le citoyen VOILLEMONT, vicaire de la cathédrale, dont les talens dans la composition de la musique sont si étendus", fait passer une annonce dans Les Affiches d'Angers pour recruter des voix. Il met en avant son engagement au service de la République. Il invite alors ses concitoyens d'Angers à venir répéter l'Hymne des Marseillais, afin que l'harmonie "de ce chef d'œuvre que le patriotisme a enfanté" soit plus frappante. La municipalité lui donne la responsabilité des fêtes décadaires dont la principale se tenait dans l'ancienne cathédrale Saint-Maurice transformée en temple décadaire.
• 24 novembre 1793 (4 frimaire an II), Angers : Pierre VOILLEMONT renonce à son statut clérical et épouse Andrée-Marguerite Roy, originaire des Sables d'Olonne, belle-sœur du serpent basson Jean François Joseph BÉRARD. Elle n'a pas pu présenter son acte de baptême, à cause des guerres qui ravagent sa région d'origine : un acte de notoriété a donc été établi pour y pallier. Cécile Bérard, signataire de l'acte est la fille du serpent-basson.
• 1794-1796, Angers : VOILLEMONT assume des travaux administratifs parallèlement à la célébration des fêtes décadaires. Il est secrétaire du District d'Angers, puis employé comme commis chef dans la manufacture Joubert, dans les bureaux de l'administration.

•••  Selon une notice biographique publiée en 1862 dans le Bulletin historique et monumental de l'Anjou, VOILLEMONT "se livra à l'enseignement de la musique. Pendant la république, l'administration municipale chargea VOILLEMONT de l'organisation des fêtes du temple décadaire." Il est aussi noté que "La tourmente passée, VOILLEMONT s'empressa de rétablir l'ancien concert de la ville".

• 1798-1806, Angers : La ville confie à VOILLEMONT la responsabilité de reconstituer une société de musique composée d'artistes et amateurs de bonne volonté. La société réunit un orchestre de 60 musiciens dont un détachement est dédié à la musique de la garde nationale. Deux autres sections se constituent, l’une dite Société philharmonique privée avec Narbonne, Cubain, Mame, Pavie, FETU, de Scepeaux, Millet, Hébert, l'autre dite Concert des Amateurs regroupant instruments à cordes et chanteurs tels Mame, Hauteville, Brouard, Giraud, Scépeaux, Germond, etc. VOILLEMONT est toujours désigné comme "le maître accepté de tous".

• 27 mai 1803, Angers : Consécutivement au Concordat, VOILLEMONT demande la validation de son mariage au cardinal légat Capara, ce qui lui est accordé. Il ne participe plus à la vie musicale de la cathédrale sauf lors de grandes cérémonies où les musiciens de la ville interviennent.
• 1805 [?]-1812, Angers : Cette période marque la participation de VOILLEMONT à la franc-maçonnerie, Loge du Tendre Accueil.

• 1807, Angers : Le préfet de Maine-et-Loire écrit au Ministre de l'Intérieur pour solliciter une pension ou une gratification en faveur de VOILLEMONT qui semble dans le besoin. Fervent admirateur du musicien, le préfet joint à son courrier une composition d'un Domine salvum fac qu'il recommande de faire jouer au Conservatoire impérial. Le préfet ne manque pas de souligner le travail d'enseignant de VOILLEMONT qui a des élèves « des deux sexes ».

•••  1er juin 1814 : La disparition de VOILLEMONT peut être considérée à plusieurs niveaux :
     - L'état civil relate que Pierre VOILLEMONT, veuf, décède à son domicile de la Montée Saint-Maurice à Angers. L'acte de décès précise qu'il est "propriétaire".
     - La cité angevine pour sa part célèbre un service d'honneur en mémoire de son musicien. C. Port écrit que "le 21 juin furent chantés sa Messe des Morts très admirée et un De Profondis écrit pour la cérémonie par BOYER, l'organiste de St Maurice."
     - VOILLEMONT a pensé à la postérité et organisé la transmission de ses compositions. Si son ancien élève, Jean-Clément POIDEVIN organiste de la cathédrale cosigne l'acte de décès, VOILLEMONT lègue ses compositions religieuses à Pierre Antoine POIDEVIN frère du précédent et futur maître de musique de la cathédrale de Rouen. Le corpus des compositions de musique religieuse léguées est répertorié dans les Manuscrits de la Bibliothèque de Rouen, collections musicales, p. 253. Une interrogation subsiste sur la musique patriotique de VOILLEMONT qui a vraisemblablement été elle aussi confiée à un légataire et reste à faire émerger. Il a confié son portrait au pastel à son ancien élève René FÉTU.

* * *

• Selon la Gazette musicale de 1835, VOILLEMONT était "un homme de talent, mais dont les productions furent toujours empreintes du mauvais goût qui dominait dans les maîtrises de province à la fin du 18e siècle"... un point de vue personnel non étayé qui faute de plus de détails met en perspective les rivalités des anciens et des modernes, la province et Paris. Pour sa part, Jean-Marcel Buvron, docteur en musicologie et spécialiste de la reconstruction des corps de musique de l'Ouest aux lendemains du Concordat, indique que quelques-uns des motets de VOILLEMONT étaient encore au répertoire de la maîtrise d'Angers en 1831.
À suivre cette biographie, un fil conducteur se dégage de la vie de VOILLEMONT, celui de la musique. Sous l’Ancien Régime il la sert à l’Église tout en étant actif auprès du Concert d’Angers qu’il contribue à faire renaître. Pendant la période révolutionnaire, il met ses talents au service de la patrie pendant les Fêtes révolutionnaires. Enfin, dès 1798 l’administration centrale du département lui confie la direction du conservatoire de musique. VOILLEMONT concilie alors cette responsabilité avec ses autres engagements musicaux que ce soit le Concert ou la cathédrale lorsqu'il participe avec ses musiciens à un Te Deum par exemple.
L’homme également apparenté à la franc-maçonnerie adjoint à ses compétences musicales l’art de fédérer les hommes. Si son engagement patriotique ne fait aucun doute il semble avoir évité pendant les années troubles post-révolutionnaires les excès de certains de ses pairs, tel le musicien Étienne BARDOU.

Mise à jour : 13 septembre 2019

Sources
F-Ad49 / G 271  ; A. Choron, Dictionnaire historique des musiciens..., 1810 ; A. de Soland, Bulletin historique et monumental de l'Anjou, 1862 ; C. Port, Dictionnaire historique..., 1874 ; C. Port, Dictionnaire historique..., 1978  ; F-Ad 49/ état civil en ligne ; F-Ad10/ état civil en ligne ; F-Ad49 / G 272 ; F-Ad49 / G 271 ; F-Ad49 / G 272  ; F-Ad49 / G 273 ; F-Ad49 / G269 ; F-Ad49 / état civil Angers 2ème arr. ; F-Ad49/ 2 L 132 ; F-Ad49/ Affiches d'Angers ; F-Ad49/ Affiches d'Angers  ; F-Ad49/ BMS Angers ; F-Ad49/ G 272  ; F-Ad49/ G 273 ; F-Ad49/ Puy N-Dame, RC 1538 ; F-An/ DXIX/080/612/33-34 ; F-An/ LL 232/ 41 ; F-BM Rouen/ Courriel du 14/11/2014  ; H. Omont, Catalogue des Manuscrits bibliothèque de Rouen, 1888 ; J. Poirier, La Maîtrise de la cathédrale d'Angers..., 1983 ; L'Anjou historique année 1901 ; L'Anjou historique année 1916-1917 ; L'Anjou historique année 1924 ; L'Anjou historique année 1948 ; L'Anjou historique, 1924.  ; Lachèse, Revue de l'Anjou... ; Mémoires de la Société d'agriculture d'Angers, 1919 ; R. Perrin de Rouvray, l'église d'Angers..., 1984 ; Revue et Gazette Musicale de Paris, 24 janvier 1841.

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