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THULLIER, Joseph Candide (1754-1841)
État civil
NOM : THULLIER     Prénom(s) : Joseph Candide     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : THULLIER
THULIER
Date(s) : 1754-10-12   / 1841-4-25 
Notes biographiques

Sans doute formé par son père qui touche les orgues de plusieurs établissements ecclésiastiques de Reims, Joseph Candide THULLIER entame très jeune une carrière d'organiste, d'abord dans sa ville natale puis très vite dans celle voisine, de Châlons, en Champagne. Il se marie avec la fille de l'organiste de la cathédrale, de la dynastie des COCHU, qui le seconde à quelques-unes des tribunes qu'il occupe à partir de 1778 (séminaire, maison Saint-Joseph). Il est nommé titulaire des orgues des paroisses de la Trinité et de Notre-Dame avant de renoncer à celles de cette dernière lorsqu'il obtint la succession de son défunt beau-père à la cathédrale Saint-Étienne en 1788. La suppression du chapitre ne perturbe qu'en partie sa carrière puisqu'il continue d'exercer dans plusieurs paroisses constitutionnelles. D'ailleurs, il continuera de jouer de son instrument de nombreuses années encore tout en donnant des leçons de musique en ville.

• 12 octobre 1754, Reims [Marne] : Fils de Pierre THULLIER "marchand pain d'épicier" [et organiste] et de Marie Anne Françoise Bouquin, Joseph Candide THULLIER naît ce jour paroisse Saint-Hilaire. Il est baptisé le lendemain par Nicaise Delamotte. Le père signe l'acte de baptême ainsi que les parrain et marraine : Joseph Candide Thullier et Françoise Coutelet.

• [début 1768], Reims : Joseph Candide THULLIER devient organiste au service de la paroisse Saint-Jacques.
• 21 avril 1768, Reims : Il est choisi comme parrain de sa petite sœur Marie-Anne. La marraine est son autre sœur Jeanne-Marguerite Thullier. Ils signent tous deux avec le père. Le jeune organiste, qui a alors 13 ans et demi, signe en toutes lettres "joseph candide thullier".

• Octobre 1772, Cuissy-et-Geny [Aisne] : Il quitte son emploi à la paroisse Saint-Jacques pour devenir organiste au monastère prémontré de Cuissy (diocèse de Laon). Cet établissement se trouve à 36 kilomètres au nord-est de Reims.

• 14 mars 1778 : Cuissy-et-Geny : Il quitte le monastère des Prémontrés avec un certificat rédigé de la main du père abbé, "Je soussigné abbé régulier du monastère de Cuissy ordre de Prémontré, atteste à tous ceux qui verront ces présentes que le sieur Candide Thuilier originaire de Reims a fait paroistre ses talens pour toucher nottre orgue pendant cinq ans, et qu’il s’est gouverné avec sagesse et une probité distinguée dans le temps qu’il est demeuré dans nottre abbaye. Donné à Cuissy ce quatorze de mars mil sept cent soixante dix huit // F Flamin abbé régulier de Cuissy".
• 1er avril 1778, Châlons [-en-Champagne] [Marne] : Joseph Candide THULLIER devient l'organiste de l'église de la Trinité où il exerce la survivance de Jacques COCHU. La fabrique de La Trinité verse alors –"pour le Sieur COCHU" –  des appointements de 84 livres par an (avérés entre 1779 et 1785).
• À la même date, la fabrique de l'église paroissiale [et collégiale] de Notre-Dame-en-Vaux l'admet comme organiste avec des appointements annuels fixes de 300#. Il prend ainsi la succession d' Anne LEGRAND, mais celle-ci percevra jusqu'à sa mort "par forme de pension" la moitié des gages, soit 150#. Joseph Candide touchera cet orgue durant dix ans.
• 4 mai 1778, Châlons : Joseph Candide épouse Cécile COCHU en l'église paroissiale saint-Alpin. Auparavant, trois bans avaient été publiés à Saint-Jean-Baptiste de Cuissy (diocèse de Laon), un ban à Saint-Symphorien de Reims ainsi qu'à Saint-Alpin. Joseph Candide (fils de Pierre THULLIER, "marchand pain d'épicier") a 24 ans, et sa future 27 (elle est dite fille majeure de Jacques COCHU, "facteur d'orgues" et de défunte Jeanne Le Bègue. Le mariage a lieu en présence des pères des époux  – qui signent – et du maître de musique de la cathédrale de Châlons Nicolas Amon ANCEL qui appose sa signature au bas de l'acte. On peut supposer que les familles ont tissé des liens déjà anciens car le mariage a lieu quelques semaines après l'arrivée du jeune homme et ce dernier prend la survivance de son beau-père à la Trinité.
• 1778 : La même année, il commence à toucher aussi l'orgue du couvent Saint-Joseph et celui du séminaire mais ce dernier sera détruit environ quatre années plus tard.

• 1785-1786, Châlons : La comptabilité de la paroisse de la fabrique de La Trinité le mentionne en tant qu'organiste paroissial, avec des appointements de 84 livres en 1785 puis de 96 livres l'année suivante. Les chanoines de la collégiale éponyme ne sont pas concernés par sa rémunération.

• 21 février 1788, Châlons : Il signe comme témoin à l'inhumation paroisse de la Trinité de son beau-père Jacques COCHU, organiste de la cathédrale en présence de Claude Nicolas COCHU.
• 22 février 1788, Châlons : Les chanoines délibérant en chapitre, décident d'un concours pour remplacer au plus vite et au mieux l'organiste-facteur de la cathédrale décédé l'avant-veille. Ils n'hésitent guère à ne désigner que 2 candidats : J.-C THULLIER (gendre du défunt) et organiste de la collégiale Notre-Dame,  et le jeune Jean-Baptiste CHARBONNIER qui touche les orgues de  la paroisse de Saint-Nicaise et de l'abbaye bénédictine de Saint-Pierre-aux-Monts. Les deux musiciens seront entendus par quelques chanoines "à ce connoisseurs" choisis par leurs pairs,  le maître de musique (ANCEL) et quelques musiciens professionnels ou amateurs de musique.
• 3 mars 1788, Châlons :  Les deux candidats ayant été entendus, il s'avère que presque tous "les suffrages" se sont portés sur THUILLIER. Le jury a toutefois  "reconnu  dans le
Sr CHARBONNIER des talens qui pouront se perfectionner", et qu' "avec du travail" il pourra "en faire dans quelques années un bon organiste"... Dans la même conclusion, le greffier du chapitre cathédral enregistre la réception du nouvel organiste :
"D’après le rapport du concours et épreuve du sr Thuillier et Charbonnier organistes, Messieurs ont admis pour être organiste de leur église et en toucher l’orgue habituellement le sr Thuillier gendre du sr COCHU, aux mêmes émoluments, charges, clauses et conditions auxquelles avoit reçu et assujetti le dit sr Cochu, et ce pour autant de tems que la compagnie le jugera à propos, à commencer de ce jourd’huy trois mars mil sept cent quatre vingt huit.  Et lorsqu’on aura sous les yeux les conclusions prises lors de la réception du sr COCHU, il en sera pris une dans laquelle l’état du sr Thuillier sera exprimée d’une manière fixe et avec un détail suffisant pour prévenir à toutes les difficultés qui pourroient naître par la suite".   Joseph Candide THULLIER continuera néanmoins à servir dans l'église paroissiale de la Trinité mais plus à Notre-Dame.

• 1785-1786, Châlons : La comptabilité de la fabrique de Notre-Dame mentionne scrupuleusement les gages attachés aux gages de l'organiste.  Depuis 1778, ils sont partagés entre THULLIER organiste en place et Anne LEGRAND l'ancienne organiste. Pour ces deux années 1785 et 1786, le 1er - Joseph-Candide - touche 350#, et la demoiselle LEGRAND : 300#. le greffier précise que les 150# annuels qu'elle reçoit sont "reversibles à sa mort au Sr THUILLIER" qui aura alors la totalité des appointements.

• 1er octobre 1788, Châlons : Le fils de Joseph-Candide THULLIER Louis Joseph Théophile Remy vient au monde et  est baptisé paroisse Notre-Dame. Le père est dit "organiste de l'Église de Châlons". Les parrain et marraine de l'enfant nouveau-né sont Pierre Louis Charles Heuvrard et Théophile Heuvrard.

• 12 janvier 1789, Châlons : Il signe comme témoin à l’inhumation de l'ancienne organiste de la paroisse Notre-Dame, Anne LEGRAND, âgée de 76 ans.

• 23 mai 1790, Châlons : Il fait partie des signataires de la pétition rédigée par les treize musiciens de la cathédrale et adressée au Comité Ecclésiastique de l'Assemblée Nationale. Il s'agit du maître de musique Nicolas Amon ANCEL, de dix chantres et deux instrumentistes, du serpent et basson Jean François LEBÈGUE et de l'organiste Joseph Candide THULLIER. Les chantres se répartissent en quatre basses-contre qui sont Nicolas Joseph BERNARD, Jean CHARLIER, Louis Joseph CLAIRE et Noël COURTEAU; une basse-taille, Pierre Célestin HÉNON; trois tailles qui sont Jean-Baptiste BULARD, Charles JACQUET et Arnould HENCART et deux hautes-contre, qui sont Jean Jacques François HÉRAULT et Louis RAVOISIER dit ADAM. Ses appointements annuels montent à 436 livres.

• Fin 1790, Châlons : Suite à la lecture de sa requête individuelle, le directoire du district lui accorde une gratification de 600 livres. Dans cette requête, il récapitule les étapes de ses 23 ans de carrière. L'ensemble de ses revenus s'élèvent à présent à 586 livres par année (436 livres à la cathédrale et 150 livres à la paroisse de la Trinité) mais il rappelle que lorsqu"il a tenu l'orgue de l'église Notre-Dame de Châlons, il devait reverser à Anne Legrand, l'ancienne titulaire de la tribune, la moitié de ses gages. Enfin, il ajoute que "depuis un an il n’a pas d’écoliers dans la ville et si Messieurs les administrateurs ne lui font pas le même sort, lui, sa femme et ses enfants seront réduits à la misère sans aucun espoir, tandis qu’il était assuré d’en être toujours à l’abri avec l’existence du chapitre".

• 26 avril 1791, Châlons : THULLIER réclame le versement de sa pension et dépose une nouvelle supplique à cet effet, élégamment tournée quoique assez mordante. "Élevé de père en fils dans la profession d'organiste et de maître de clavecin, toutes mes ressources se bornent uniquement à cet art, et je me vois aujourd'huy prêt à tomber dans l'indigence la plus affreuse si vous ne daigner, Monsieur, venir à mon secours. Pendant dix années que j'ai touché l'orgue à Notre Dame, j'ai été obligé de rendre moitié de mes appointements à mon prédécesseur à titre de pension, appelé naturellement à succéder à un beau père qui touchoit celui de la ci-devant église cathédrale, il a fallu opter ; j'ai été en but à la cabale qui vouloit m'exclure, il a été établi un concours, et malgré j'ose le dire cette supériorité sur mes concurrents, j'ai été forcé d'occuper cette place aux modiques appointements de 400 livres. J'en ai exercé les fonctions depuis trois ans et demi sans avoir reçu aucun reproche. Le chapitre avoit arrêté qu'il me seroit accordé une augmentation de traitement de 200 livres, mais tout à coup l'ordre des choses étant changé, j'ai perdu non seulement cet avantage réel, mais encore le peu de bénéfice que me rapportoit l'orgue de la Trinité que je touche depuis 19 ans, ceux du Séminaire et de Saint Joseph que je touchois également, concurremment avec mon épouse [Cécile COCHU]. Telle est au vrai, Monsieur, ma situation alarmante. Le département vient d'adresser l'état des pensions et gratifications à accorder à chacun des musiciens supprimés en raison de son âge et la nature de ses services. Aucuns de ceux qui se trouvent dans le cas de ne toucher qu'une simple gratification n'ont été traités aussi défavorablement que moi. Les uns ont été portés pour 1000 livres et les autres pour 1200 francs. moi qui perd absolument tout, même le peu d'écoliers de clavecin que j'avois dans la ville, je ne suis compris sur ce tableau que pour une somme de 109 livres et cela dit-on sous pretexte que je dois être remplacé dans la nouvelle église; mais plusieurs ont également le même espoir. Pourquoi donc une aussi grande inégalité ; mes fonctions étoient aussi importantes que celles des autres, à quelle époque serai-je remplacé ? Quel sera mon traitement au bout de 22 années de service ; enfin, de quoi subsisterai-je moi et ma famille en attendant que ma place me soit rendue ?".
Ce texte est précieux car il apporte de nouveaux éclairages sur sa carrière [il a donné des leçons de clavecin en ville, son épouse a également touché des orgues en particulier au couvent Saint-Joseph, chez les dames bénédictines venues de l'abbaye d'Avenay au XVIIe siècle; une chapelle avait été édifiée en 1706 mais un incendie touchait durement l'établissement en 1769 et le couvent fut supprimé en 1788].
• 24 août 1791, Châlons : Le directoire du district n'est pas sensible à la démarche de l'organiste et réitère qu'"attendu que le sr Thuilier se trouve comme il avoit été prévu remplacé dans la même église devenue paroissiale nous disons qu’il n’y a lieu à autre indemnité pour lui que celle de l’interruption de payement pendant les six premiers mois de la présente année. Mais les revenus de la fabrique de la dite église sur laquelle il étoit payé ne tombant point dans le trésor public, et appartenant à la fabrique paroissiale qui les touchera depuis le 1er janvier dernier avec les reliquats et arrérages des précédens comptes dont elle fera le recouvrement, lui avons renvoyé l’enpérant [sic] au bureau de fabrique de St Étienne pour à titre d’indemnité faire courir le traitement qu’elle lui a fait à compter du 1er janvier et le faire payer en conséquence des six premiers mois échus au 1er juillet sur le pied du dit traitement et au sujet de lui accorder cette autre gratification une fois payée qui lui paraitroit convenable dans la circonstance eu égard aux pertes qu’il a éprouvé dans le temps où l’église a été fermée".
• Printemps 1791 : THULLIER, comme cinq autres de ses confrères, a été "remplacé", au service de la paroisse constitutionnelle de Saint-Étienne avec des appointements annuels de 400 livres. Il redevient aussi à partir du 1er juillet, l'organiste de l'église paroissiale de Notre-Dame, avec 350 livres par an (il occupe encore ce poste dans le courant de 1793, avec les mêmes appointements payés par quartier).

• 10 avril 1792 : Joseph Candide THULLIER est parrain de André Candide Regnault, fils d'un marchand. L'acte de baptême - dressé en la paroisse Notre-Dame - le mentionne en précisant sa qualité d'"organiste de cette paroisse."
• 1er août 1792, Châlons : Les fabriciens de la paroisse de la Trinité lui délivrent un certificat rédigé ainsi "Nous soussigné certifions que le sieur Thuillier organiste demeurant à Chaalons paroisse Notre Dame a pendant quatorze à quinze ans, c’est à dire depuis le premier avril mil sept cent soixante dix huit, touché l’orgue de l’église de la S[ain]te Trinité de cette ville, et qu’il s’est acquitté de ce devoir à la satisfaction des paroissiens".
• 25 août 1792, Châlons : Le directoire du département, après avoir toutes les pièces récapitulatives de la carrière de THULLIER, dont "la pétition dud[it] s[ieu]r Thuilier par laquelle il expose que depuis 1778, il a l’orgue du séminaire pour raison de laquelle il lui étoit payé 120 # et de la Trinité aux gages de 200 #", décide de lui accorder une pension de secours de 133 livres 6 sols 8 deniers à compter du 1er janvier 1791. Le directoire estime néanmoins que "considérant que l’orgue du séminaire auquel le sr Thuilier étoit attaché a [été ? (manquant)] détruit il y a environ huit ans, que pour raison de celui de la Trinité il ne recevoit rien des chanoines de cette église, mais seulement de la paroisse pour laquelle il avoit en gages fixes 100# et le surplus en casuel", il ne prend pas en compte la totalité des sommes revendiquées par l'exposant.
• 24 septembre 1792 : Devant la municipalité de Châlons, Joseph Candide THULLIER, organiste, prête le serment prescrit par la loi d'août 1792.
• En 1793, Châlons : La comptabilité de la fabrique de Notre-Dame le mentionne en tant qu'organiste de la paroisse avec des appointements de 350#/an (2eme trimestre 1793)
• 14 juillet 1793 : Au moment de la fermeture des églises châlonnaises, Joseph Candide touche ses derniers appointements (second trimestre de 1793 soit 125 livres).

• 31 décembre 1805-15 mars 1807, Châlons : Joseph Candide THULLIER, "concierge de la Maison d'arrêt" de Châlons, signe plusieurs déclarations de décès devant l'État civil.

• 19 septembre 1809, Châlons : Son épouse s'éteint à six heures du soir à leur domicile de la rue des Petites Meules. THULLIER est mentionné dans l'acte à la fois comme professeur de musique et organiste de la paroisse Notre-Dame. Le même jour, Claude Nicolas COCHU, professeur de musique domicilié à Paris, âgé de 41 ans, vient déclarer le décès en compagnie d'un horloger.

• 6 juin 1810, Saint-Martin-d'Ablois, près d’Épernay [Marne] : Joseph Candide THULLIER, professeur de musique demeurant à Châlons, veuf en premières noces de Cécile Cochu, se marie avec Rosalie Françoise Charlotte Rossignol, fille d'un notaire impérial en présence de son beau-frère Memmie Cousin, 72 ans, domicilié à Épernay. Il signe 'Thullier".

• 21 janvier 1820, Châlons : Professeur de musique demeurant rue du Tripot; sa femme meurt à une heure du matin.

• 8 juillet 1821, Châlons : Joseph Candide THULLIER, organiste, âgé de 66 ans, son père et Sindulphe Poinsart, propriétaire, 45 ans, ami du défunt, déclarent le décès la veille à une heure de l'après-midi au dépôt de mendicité du département de la Marne de Louis Joseph Théophile Remy Thullier, âgé de 33 ans, ancien commis à cheval aux contributions indirectes, demeurant à Vitry-le-François [Marne] avant son entrée au dépôt de mendicité, fils dudit Thullier et de défunte Cécile Cochu.

• 1836, Châlons : Il apparaît comme "ancien organiste" dans le recensement effectué par la municipalité sous le numéro de ménage 2679. Sa domestique Élisabeth Jouède, 53 ans, est également citée.

• 27 avril 1841, Châlons : Louis Joseph Drouart, 62 ans, propriétaire et Augustin Billot, rentier, 62 ans, ses voisins déclarent le décès survenu avant-hier à "une heure du soir" à son domicile de la rue de la Gravière, de Joseph Candice THULLIER, ancien organiste, natif de Reims, fils de défunt Pierre, ancien organiste et de Marie Françoise Bouquin,  veuf en premières noces de Cécile Cochu et en secondes de Rosalie Françoise Charlotte Rossignol.

Mise à jour : 1er août 2022

Sources
F-Ad51/ 1 L 1333 ; F-Ad51/ 1 L 1333  ; F-Ad51/ 1 L 1334 ; F-Ad51/ 1 L 1336 ; F-Ad51/ 122 M 3 ; F-Ad51/ 1L 1277  ; F-Ad51/ 1L 1333 ; F-Ad51/ 2 E 119/ 16 ; F-Ad51/ 2 E 119/371 ; F-Ad51/ 2 L 236 ; F-Ad51/ 2E 119 374 ; F-Ad51/ 2E 119/ 10 ; F-Ad51/ 2E 119/ 386 ; F-Ad51/ 2E 119/ 387 ; F-Ad51/ 2E 119/ 408 ; F-Ad51/ 2E 119/4 ; F-Ad51/ 2E 534/ 146 ; F-Ad51/ 2E 534/ 74 ; F-Ad51/ 2E 534/58 ; F-Ad51/ 2E 57-58 ; F-Ad51/ 2E 592/ 11 ; F-Ad51/ 2L 236 ; F-Ad51/ BMS La Trinité ; F-Ad51/ Châlons 2E 119/4 ; F-Ad51/ G 1819 ; F-Ad51/ G 1822 ; F-Ad51/ G 1824 18-2 ; F-Ad51/ G 728 ; F-Ad51/ G1822 ; F-Ad51/ L 1336 ; F-Am Châlons/ Ms 1103 ; F-Am Châlons/ P6 ; F-An/ DXIX/056/188/08 ; F-An/ DXIX/090/757/03 ; J.F Baudon, Orgues de Champagne-Ardennes, tome 3, Marne, 1993  ; S. MIKUS, "Champagne généalogie ...", 1991

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