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Pour citer Muséfrem
QUENTIN, Léonard (1779 av.-1785 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : CANTIN
Date(s) : 1779-7-18 av. / 1785-5 ap.
Léonard QUENTIN est l'un des deux chantres de la collégiale Saint-Martin d'Aubusson. Il exerce cette fonction depuis les années 1780 et en parallèle semble aussi se mettre au service de la confrérie des pénitents blancs de la ville au minimum jusqu'en 1789.
• 18 juillet 1779, Aubusson [Creuse] : Léonard QUENTIN est qualifié de choriste de la collégiale Saint-Martin d'Aubusson en même temps qu'un autre choriste dénommé Jean VALLENET. Trois enfants de chœurs (Pierre LE FAURE, Léonard LUMASSON et Léonard BLANCHON) les accompagnent.
• 1784-1785, Aubusson : Le sieur QUENTIN est toujours chantre de la collégiale Saint-Martin d'Aubusson en compagnie d'un dénommé MOREAU. Il reçoit 1 livre et 10 sols pour les "hebdomades" de 1784 et 1 livre et 11 sols et 6 deniers pour les hebdomades et fondations de 1785.
• 1789, Aubusson : Un certain QUENTIN est choriste des pénitents blancs de la ville avec le chantre MOREAU. Il est probable que ce soit les mêmes chantres que ceux exerçant dans la collégiale voisine.
L'enquête reste à mener pour savoir ce que Léonard QUENTIN devint ensuite.
Lors de l'inventaire de la collégiale en 1790, on note dans le chœur "un lutrin en forme d’aigle de bois doré à l’huile, un graduel et un vespéral en folio, quatre missels in 4e", objets qui attestent la pratique du chant. Ce qui est confirmé par la présence de "petites escabelles" et d'un "banc pour les chantres". Les chanoines confirment employer "deux chantres, un bedeau, trois enfants de chœur et un ancien sacristain infirme". Mais les noms de ces employé ne sont pas cités... Léonard QUENTIN en faisait-il partie ?
Mise à jour : 11 septembre 2020