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Pour citer Muséfrem
NIBELLE, François (1792- fl.)
Autre(s) forme(s) du nom : NIBEL
Date(s) : 1792 /
À l'occasion du décès de l'un de ses collègues en mai 1792, François NIBELLE est attesté comme chantre de la nouvelle grande paroisse Saint-Louis créée un an auparavant à Gien. Où était-il en poste en 1790 ? Chantait-il déjà à l'ancienne paroisse Saint-Louis de Gien ? Ou, éventuellement, à la ci-devant collégiale Saint-Étienne ?
• 23 mai 1792, Gien : Au cimetière de St-Genouil est solennellement inhumé Edme GUIMONET, mort le 21 mai, à l'âge de 68 ans, "chantre de cette paroisse". Le curé Vallet et son vicaire sont là, mais aussi Germain LEBLANC et François NIBELLE, "tous deux aussi chantres de cette paroisse", c'est-à-dire la nouvelle grande paroisse Saint-Louis qui depuis le décret du 1er avril 1791 couvre la totalité de la ville de Gien.
Avant cela, on sait que le défunt, Edme GUIMONET, chantait à Saint-Laurent, paroisse supprimée. Qu'en était-il de LEBLANC et NIBELLE ?
Ce dernier pourrait être François Nibel / Nibelle (1745-1828). Il épouse Marie-Gabriel[le] Pasteau / Pateau le 7 janvier 1768 à Arrabloy (village situé à 8 km à l'est du centre de Gien). À partir de 1773 au plus tard, ils sont installés à Gien, où ils ont plusieurs enfants. Il exerce le métier de boulanger et aucun indice n'est apparu probant pour l'identifier formellement au chantre de 1792. Les deux signatures, en particulier, celle de 1768 et celle de 1792, si elles présentent de fortes similitudes, offrent un N trop différent.
Mise à jour : 29 mai 2019