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Pour citer Muséfrem
MARCADÉ, à Laval (ca 1754-1791 ap.)
Complément de nom : à Laval
Autre(s) forme(s) du nom : MARCADET
Date(s) : 1754 ca / 1791-3 ap.
La biographie du sieur MARCADÉ, dont ignore encore le prénom, se résume à peu de choses. Il est pourtant en activité en 1790 comme psalteur à la collégiale Saint-Michel de Laval [Mayenne] et apparaît dans les tableaux envoyés au Comité ecclésiastique.
• MARCADÉ ou MARCADET serait né vers 1754-1755, si l'on en croit l'âge déclaré au commencement de la Révolution.
• [Vers 1782], Laval [Mayenne] : Selon ses déclarations de 1790, il aurait été reçu alors comme psalteur par la modeste collégiale de Saint-Michel. En 1790, il déclare y exercer depuis huit ans. Son admission n'a pas été relevée dans le registre capitulaire.
• 1790, Laval : Aux côtés de Julien-René LOUIN, clerc tonsuré, autre psalteur, MARCADÉ chante toujours au chapitre Saint-Michel de Laval, aux gages de 250 livres par an. Il explique que "sa place fournissoit à ses besoins" (même si on peut imaginer qu'il exerçait en parallèle une autre activité complémentaire, peut-être dans l'artisanat du lin, comme Mathurin LEPRÊTRE). La collégiale emploie également un organiste, Jean DUCLOS, un souffleur d'orgue nommé Jean Le Febvre, et un bedeau sonneur, Michel Le Febvre.
MARCADÉ fait une demande de pension au Comité ecclésiastique. Il est âgé de 36 ans et demeure à Laval. Il expose que privé des gages de Saint-Michel, il se trouve "dans l'impossibilité de pourvoir à sa subsistance et celle de sa famille", ce qui pourrait laisser supposer qu'il est marié et peut-être père de famille.
• 1er mars 1791 : Le directoire du département de la Mayenne lui accorde une gratification de 250 livres, soit une année de ses gages antérieurs.
Après quoi, on perd sa trace...
Mise à jour : 27 février 2016