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JACQUELIN, Jean (1789 av.-1790 ap.)
État civil
NOM : JACQUELIN     Prénom(s) : Jean     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : JAQUELIN
JACLIN
Date(s) : 1789 av.  / 1790 ap.
Notes biographiques

Jean JACQUELIN est en 1790 l'un des deux choristes attestés du chapitre de Saint-Vrain à Jargeau, petite ville située sur la rive gauche de la Loire, à une petite vingtaine de km en amont d'Orléans. Si son terroir produit alors du vin estimé et des céréales, il est exposé à tous les dangers du grand fleuve, qui apparaissent clairement dans le registre paroissial. C'est d'ailleurs à l'occasion d'une noyade que les "choristes du chapitre" ont été mis au jour.

• [début 1789], Jargeau [Loiret] : Jean JACQUELIN a peut-être remplacé Pierre CIRET, dont on perd la trace après janvier 1789, comme choriste à la collégiale Saint-Vrain.
• 1er mai 1789, Jargeau : On repêche dans la Loire le corps de Pierre Le Faucheux (dit L'Angevin car il est originaire du diocèse d'Angers), un compagnon charpentier de 25 ans, "noyé par accident, le 15 du mois d'avril dernier". Le jour même, "après l'ordonnance du juge", on procède à l'inhumation au cimetière de la paroisse. La cérémonie est faite "en présence de Louis MALLET et Jean JACLIN, choristes du chapitre", ainsi que de Jean Chambolle, qui est au service de la paroisse Saint-Étienne et qui signe fréquemment. Les deux choristes du chapitre, en revanche, ne sont requis que pour des sépultures au caractère un peu exceptionnel comme celle-ci. Ils signent "Mallet" pour l'un et "jean jacquelin" pour l'autre.
On retrouve la signature de Jean JACQUELIN le 27 novembre 1789, à nouveau en compagnie de Louis MALLET.
• 12 octobre 1789, Saint-Jean-de-Braye [Loiret] : Jean JACQUELIN a parcouru les 13 km qui séparent Jargeau de cette paroisse située rive droite, pour assister aux noces de son "amy" Louis MALLET, qui à 40 ans épouse Marie-Magdelaine Pisseau. Il signe "jean jacquelin".

1790, Jargeau : Jean JACQUELIN est toujours choriste du chapitre de Saint-Vrain. En compagnie de son ami et confrère Louis MALLET, on l'aperçoit signant le registre de la paroisse Saint-Étienne le 12 avril 1790, après la sépulture d'un garçon de 17 ans "mort par accident". Curieusement, il signe ce jour-là "jaclin".

Il n'a pas été possible de retrouver d'autres éléments probants à son sujet.

Mise à jour : 20 janvier 2019

Sources
F-Ad45/ BMS Jargeau

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