Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Alpes-Maritimes
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Somme
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
DUPATY (1775 av.-ca 1792)
Autre(s) forme(s) du nom : DUPATIS
Date(s) : 1775 av. / 1792 ca
DUPATY (ou DUPATIS) apparaît dans les sources comme prêtre et sous-chantre de l'église paroissiale Saint-Vénérand, située rive gauche de la Mayenne, à Laval, dans un quartier essentiellement peuplé d’artisans du textile.
• [avant 1775], Le Mans : Après une formation qui reste à découvrir (psallette, collège, séminaire…?), DUPATY est ordonné prêtre, très certainement au Mans, alors capitale du diocèse.
• 1775-1776, Laval : Les comptes de fabrique de la paroisse Saint-Vénérand comportent 100 livres qui ont été versées "à m. DUPATIS prêtre, pour une année de ses honoraires de sous-chantre".
• 3 février 1790 : Les comptes de 1789-1790 mentionnent de la même façon "payé à Mr DUPATY prestre pour ses honnoraires de sous chantre et pour supplément aux premières messes suivant sa quittance, la somme de 243 livres". Les mêmes comptes mentionnent également les honoraires du chantre, Ambroise René LE PECQ, ainsi que ceux de l'organiste Jean DUCLOS.
Comme Saint-Vénérand est une église paroissiale, chantre et sous chantre ne peuvent être des dignités capitulaires, il s'agit donc vraisemblablement du personnel de la musique. Les nombreux prêtres qui figurent aussi dans ces comptes participent sans doute au chant avec eux, de même que SUZAN, le porte-croix. Sans prénom, toutefois, l'enquête reste difficile.
• Selon Isidore Boullier, le sous-chantre de Saint-Vénérand (qu'il nomme "LE SEGRETAIN-DUPATIS") serait "mort avant la déportation, dans un âge très-avancé".
Dernière mise à jour : 28 janvier 2016