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DROIN, Jean (1790-1792 fl.)
Autre(s) forme(s) du nom : DROUIN
Date(s) : 1790 / 1792
Jean DROIN ou DROUIN appartient in extremis aux chantres de 1790 : face à la maladie probable du premier chantre (qui meurt au début du mois de février 1791), il prend son relais durant la seconde moitié de l'année 1790 pour assurer le chant dans l'église paroissiale Saint-Pierre de Chablis [Yonne] et lors des cérémonies de sépulture.
• Sa première apparition dans le registre paroissial date du 24 juin 1790 : "Jean DROUIN tonnelier" signe l'acte de sépulture d'un défunt qui n'est pas de sa famille. Le chantre en titre de la paroisse est toujours Jean DELALEVÉE, parfois dit "premier chantre", on peut penser que le tonnelier le seconde au lutrin. Depuis quand ?
• Le 4 novembre 1790 : Jean DROIN est pour la première fois clairement dit "chantre de cette église". Le 26 novembre 1790, Jean DELALEVÉE, le premier chantre de la paroisse, appose pour la dernière fois sa signature en bas d'un acte. Tout au long du mois de décembre 1790, les sépultures sont célébrées "en présence de Jean DROUIN chantre".
• À partir de mars 1791, Jean DROIN subit de plein fouet la concurrence de l'ancien chantre de la collégiale Saint-Martin, Laurent Roch PARIS qui se fait recevoir chantre de la nouvelle structure paroissiale installée dans l'ancienne église capitulaire, et qui assure la plupart des assistances aux cérémonies de mars à juin 1791.
• Durant l'année 1792, en pointillés, on voit ré-apparaître Jean DROIN (encore qualifié de chantre le 30 juin 1792) comme signataire des actes de décès, en alternance ou parfois en compagnie d'un autre chantre, Pierre GANDON.
Mise à jour : 17 mars 2015