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DARRIBAU, Jean François (1779 ap.-1792 ap.)

DARRIBAU, Jean François (1779 ap.-1792 ap.)

État civil
NOM : DARRIBAU     Prénom(s) : Jean François     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : DARRIBEAU
D'ARRIBAU
D'ARRIBEAU
DARRIMAU
Date(s) : 1779-11-30 ap.  / 1792-2-16 ap.
Notes biographiques

Le patronyme DARRIBAU est porté par plusieurs serviteurs d'église du diocèse d'Aire [Landes], à la fin de l'Ancien Régime. Ses multiples variantes et les lacunes ou l'imprécision des registres paroissiaux n'ont pas permis d'identifier avec certitude le chantre en poste à la collégiale de Saint-Loubouer en 1790 qui portait ce nom et dont le prénom reste incertain. S'appelait-il Jean, François ou Jean-François ?

 • 30 janvier 1779, Bascons [Landes] : Un certain Jean DARRIBAU convole en noces avec Jeanne Tauziède. Plusieurs Darribau sont attestés comme benoîts, c'est à dire sacristains, dans ce village au sud-est de Mont-de-Marsan et dans la paroisse voisine d'Artassenx. On trouve en effet dans leurs registres paroissiaux du XVIIIe siècle un Paul et un François Darribau qui occupent cette fonction, mais il est difficile d'établir des liens de parenté entre eux car les actes de mariage ne précisent pas toujours les noms de leur père et de leur mère.
• 1786, Saint-Loubouer [Landes] : La collégiale de cette petite localité du Tursan reçoit un chantre et sacristain nommé François DARRIBAU.

• 1790, Saint-Loubouer : François DARRIBAU est toujours en place à la collégiale. Il perçoit pour sa double fonction de chantre et sacristain 300 livres par an et 100 livres de "fruits décimaux".
• 10 septembre 1790, Saint-Loubouer :  Le curé Cadillon célèbre le baptême d'une petite fille issue du mariage de François Darrimau avec Jeanne Tauziède. Dans la marge du registre paroissial, il annote "baptême au chantre".  Ce François Darrimau est probablement le même homme que François DARRIBAU.

• 20 avril 1791, Saint-Loubouer : François DARRIBAU sollicite une pension de 400 livres pour l'aider avec sa femme infirme et ses enfants en bas-âge.

• 16 février 1792, Saint-Loubouer : Le directoire du département ne lui accorde qu'une gratification de 200 livres car il ne réunit pas « les deux circonstances de l'âge et de la durée du service ».

• On perd ensuite sa trace

Mise à jour : 7 juin 2020

Sources
F-Ad40/ 5 L 1 - F-Ad40/ 5 L 4 ; F-Ad40/ BMS Bascon ; F-Ad40/ BMS St-Loubouer

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