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Pour citer Muséfrem
COMBES, François (ca 1772-1791 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : COMBE
Date(s) : 1772 ca / 1791-2 ap.
Sans doute né au début de la décennie 1770, formé à Carcassonne, François COMBES entame ensuite une brêve carrière d'organiste que la Révolution vient rapidement interrompre.
• [1780-1787], Carcassonne : François COMBES est enfant de chœur au service de la cathédrale Saint-Nazaire et Saint-Celse de Carcassonne.
• [1787-1788] : Il exerce la fonction d'organiste pendant une année dans le même chapitre.
• 16 juillet 1788, Montréal [Aude] : François COMBES devient organiste de la collégiale Saint-Vincent de Montréal. Son engagement stipule qu'il devra également prendre soin des enfants de chœur avec des appointements de 500 livres.
• Jusqu'en 1790, Montréal : François COMBES est organiste de la collégiale Saint-Vincent. Depuis mai 1790 il ne reçoit plus de traitement en raison des difficultés financières du chapitre.
• 24 octobre 1790 : Il adresse une première supplique au directoire du district. À son dossier de pension, il joint une délibération de la fabrique où sont expliquées les difficultés de la fabrique à rétribuer les musiciens qui ont continué leur service. Elle reste sans réponse.
• 20 février 1791 : Il adresse de nouveau une supplique afin de réclamer le payement de ses gages pour la fin de l'année 1790, ainsi qu'un secours en pension ou gratification. Il est dans une grande nécessité d'argent.
• 26 février 1791 : Le directoire du département de l'Aube délibère sur sa requête et décide de lui accorder la somme de 400 livres pour compléter ses gages de l'année 1790. Il recommandera également le sieur Combes à l'Assemblée Nationale afin que celui-ci puisse toucher une gratification de 500 livres, sur l'avis favorable du directoire du district.
Que devient-il ensuite ?
Mise à jour : 29 février 2016