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CHAPPUY, François Laurent (1751-1838)
État civil
NOM : CHAPPUY     Prénom(s) : François Laurent     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : CHAPUY
CHAPUIS
CHAPPUI
CHAPUI
Date(s) : 1751-10-1  / 1838-12-23
Notes biographiques

Éminente figure du monde musical strasbourgeois, le virtuose du violon François Laurent CHAPPUY (1751-1838), ami et homme de confiance du maître de musique Ignace PLEYEL, sert le chapitre de la cathédrale Notre-Dame jusqu'en 1790 puis dirige l'orchestre du Temple de l'Être suprême, dans le même édifice. À la fin du siècle, il organise des concerts et des bals avec ses partenaires de la Société de la Réunion des Arts. Il a également été musicien au Théâtre français et a enseigné le violon au lycée de Strasbourg.

• 2 octobre 1751 : François Laurent CHAPPUY, né la veille, est baptisé en la paroisse Saint-Pierre-le-Vieux, à Strasbourg [Bas-Rhin]. Son père, François Laurent Chappuy, est bourgeois et négociant (1786), qualifié de chef de bataillon et commandant d'armes par intérim lors de son décès en 1812. Sa mère se nomme Élisabeth Stöss ou Stoes.

• 15 juin 1772, Strasbourg : Il est couché sur un état des musiciens pensionnés de la ville. Il touche 25 livres par an. Il en va de même le 30 mai 1774.

• 30 avril 1773, Strasbourg : François Laurent CHAPPUY est engagé comme symphoniste à la cathédrale Notre-Dame, avec 25 florins (50 livres) de gages.

• 23 janvier 1775, Strasbourg : La pension de CHAPPUY, qualifié de violon surnuméraire, est passée à 45 livres par an.

• [vers septembre] 1776, Strasbourg : CHAPPUY démissionne de son poste de symphoniste, sans doute parce qu'il a trouvé un emploi à Durlach [margraviat de Bade, auj. quartier de Karlsruhe]. Il touche seulement ses "trois premiers quartiers".
• 13 septembre 1776, Durlach : François Laurent CHAPPUY épouse Marie Élisabeth Tournier, de Strasbourg, fille de François Tournier, négociant, et de Marie Barbe Philippine Ruffier. François Laurent travaille-t-il alors pour le compte du margrave de Bade-Durlach ? On sait aussi que son père a dirigé une manufacture de tabac à Durlach.
• 30 septembre 1776, Strasbourg : Le préteur royal donne instruction au corps municipal de cesser de verser sa pension au sieur CHAPPUY, violon surnuméraire qui a quitté le service de la ville pour aller s'établir en Allemagne.

• 15 janvier 1779, Strasbourg : CHAPPUY figure sur un état de "Messieurs les chantres et sinfonistes de la cathédrale, qui ont chanté la Messe du St Esprit, pour Messieurs du Magistrat de la ville de Strasbourg", en tant que violon.
• 31 janvier 1779, Strasbourg : Né la veille, François Laurent Léopold, fils de Laurent CHAPPUY, musicien, et d'Élisabeth Tournier, est baptisé à Saint-Pierre-le-Vieux. Le parrain est Léopold Osvald, conseiller du duc des Deux-Ponts ; la marraine Barbe Bardiche, née Verniolle.

• [entre mars 1780 et mars 1781], Strasbourg : Il retrouve son emploi de musicien à la cathédrale.

• 29 septembre 1781, Strasbourg : Augmenté par le chapitre, il touche désormais 70 florins (140 livres) par an.

• 1782, Strasbourg : CHAPPUY, violon, fait à nouveau partie des musiciens pensionnés par le corps municipal, d'après l'Almanach d’Alsace pour l’année 1783. Il demeure rue des Juifs.
• 29 août 1782, Strasbourg : Un fils en danger de mort de Laurent CHAPPUY, musicien de la cathédrale, se fait baptiser à Saint-Pierre-le-Vieux.

• 22 septembre 1786, Strasbourg : Marie Catherine, fille de François Laurent CHAPPUY, bourgeois et musicien, et de Marie Élisabeth Tournier, vient au monde. Son grand-père Laurent Chappuy, bourgeois et négociant, la porte sur les fonts baptismaux.

• 23 octobre 1787, Strasbourg : Les gages de François Laurent CHAPPUY passent à 75 florins (150 livres).

• 22 janvier 1788, Strasbourg : Il assiste au mariage d'Ignace PLEYEL, maître de chapelle à la cathédrale, avec Françoise Gabrielle Lefebvre.
• 4 avril 1788, Strasbourg : Un décret d'augmentation porte son salaire à 80 florins (160 livres) par an.

• 1789, Strasbourg : Laurent CHAPPUY, musicien, réside en tant que locataire au n° 60, rue du Jeu des Enfants.

• 1790, Strasbourg : Toujours symphoniste à la cathédrale, François Laurent CHAPPUY touche 160 livres de gages.

• 1791, Strasbourg : CHAPPUY, violon, auquel le corps municipal verse toujours une pension, réside rue du Jeu des Enfants. Dans l'orchestre de la cathédrale reformé par Ignace PLEYEL, il est premier violon, en deuxième position derrière BARTISCH et devant CLADÉ et AMON, avec 200 livres de gages par an.
• 30 mars 1791, Bouillon : Le Journal encyclopédique annonce la parution de la Seconde symphonie concertante, à violons & alto principaux, deux violons, alto, basse, deux hautbois & deux cors, composée par Ignace PLEYEL pour le concert des amateurs de Strasbourg, exécutée (en 1789 ou 1790) par les sieurs CHAPPUY et SKOTSCHOFFSKY.
• 31 octobre 1791, Strasbourg : Ignace PLEYEL, directeur de la musique de la cathédrale, expose au corps municipal qu'il est obligé de s'absenter mais qu'il désire cependant, pour satisfaire à ses engagements envers la ville, le maintien du Concert des amateurs. Il prie en conséquence le corps municipal de vouloir bien l'autoriser à commettre à sa place pour la direction du Concert le sieur CHAPPUY, premier violon de la ville, et lui accorder gratis pour cet hiver la salle du Miroir afin de le dédommager des pertes qu'il pourroit essuyer "dans un moment où le nombre des étrangers dans cette ville est très peu considérable". Le corps municipal accepte.

• Mai 1792, Strasbourg : Il occupe toujours une place de premier violon à la cathédrale.
• 30 octobre 1792, Strasbourg : Marie Élisabeth, fille de François Laurent CHAPPUY, officier dans la Légion de Biron, et de Marie Élisabeth Tournier, meurt à l'âge de 15 ans. Cette unité de "chasseurs du Rhin", formée par le général Armand Louis de Gontaut-Biron, défendit l'Alsace en 1792-1793.

• 13 février 1793, Strasbourg : Laurent CHAPPUY, musicien, signe l'acte de décès de Charles Pleyel, jeune fils (30 mois) de l'ancien maître de chapelle de la cathédrale Ignace PLEYEL.
• 18 février 1793, Strasbourg : Les citoyens DEISSELBACHREISS, BARTISCHPOPPWOLFFWILLIG, Fidel BUSCH, Laurent CHAPPUY, OTT, RAUCHGuillaume BUSCHDORN et BERTEAU, tous musiciens français, demandent à la chambre des finances de la commune de leur rembourser la somme de 10 000 livres qu'ils ont placée à la ci-devant Tour aux Pfennigs, en les dispensant de l'avertissement préalable de trois mois. Le corps municipal arrête qu'il n'y a pas lieu de délibérer, sauf aux pétitionnaires à se mettre en règle.

• 4 avril 1794, Strasbourg : CHAPPUY est premier violon et chef de la musique du Temple de l'Être suprême. La municipalité lui doit 84 livres pour quatorze décadis de présence, ce qui signifie qu'il occupait déjà ce poste en décembre 1793.
• 16 juillet 1794, Strasbourg : Le corps municipal décide de former (en fait, de reconduire) un comité "pour établir l'ordre de la musique lors des fêtes décadaires et nationales" dans le temple de l'Être suprême, considérant "qu'il est de la plus grande importance de ne négliger aucun des moyens qui peuvent contribuer à l'embellissement de ces fêtes, que c'est en les célébrant par des hymnes et par des chants civiques que l'on parvient également à détruire tous ces anciens préjugés que le fanatisme avoit fait naître". Les citoyens Lahaye, DUPONTCLADÉ, CHAPPUY fils et BARTISCH le composent.
• 23 juillet 1794, Strasbourg : Le corps municipal arrête que CLADÉ, CHAPPUY et BARTISCH, chargés de la direction de la musique au temple de l'Être suprême, jouiront d'un traitement annuel de 300 livres et les autres musiciens attachés à ce lieu de 200 livres par an. Le paiement du 20 germinal (dernier paiement en date) au 30 prairial se fera sur les 6 000 livres destinées aux dépenses du culte républicain. 
• 14 novembre 1794, Strasbourg : CHAPPUY fils, DUMONCHAUBERTEAUBARTISCH, CLADÉ et LAFORGUE, artistes musiciens, obtiennent la permission de donner des bals et des concerts en la salle du Miroir.
• 22 novembre 1794, Strasbourg : Le corps municipal délibère au sujet d'une pétition des citoyens PLEYEL, CHAPPUY fils, BARTISCHDUMONCHAU, LAFORGUE, CLADÉ et BERTEAU, artistes, "renfermant plusieurs propositions propres à encourager et développer les talents". Il arrête que la fonction de directeur du spectacle sera retirée à Démery à la fin de l'année dramatique pour être confiée aux pétitionnaires comme membres du comité, "concurremment avec tous les autres artistes dont les talens & la moralité seraient reconnus par la commission municipale". Le comité devra moraliser le spectacle, empêcher toute forme d'interruption et préparer un plan d'organisation intérieure. Il formera provisoirement un "noyau de lycée" pour la musique vocale et instrumentale et pour la déclamation ouvert aux jeunes citoyens en payant 20 livres par mois s'ils ont les moyens de subsister, gratuit pour les indigents. Les artistes concourront gratuitement et avec exactitude chacun dans son genre à la musique du Temple de l'Être suprême et à l'embellissement des fêtes nationales, à dater de la fin de l'année dramatique.
• 2 décembre 1794, Strasbourg : Le citoyen STORCK, marchand de musique, présente un mémoire pour copie de différentes pièces de musique exécutées au Temple, certifié par CHAPPUY, membre du comité de musique. Le corps municipal ordonne que la somme de 218 livres demandée sera payée sur la caisse de la commune.
• 14 décembre 1794, Strasbourg : Le corps municipal écrit à CHAPPUY fils, DUMONCHAUBERTEAUBARTISCH, CLADÉ et LAFORGUE, artistes musiciens ayant obtenu permission "de donner des concerts & bals au cidevant poële du miroir", pour les blamer d'avoir refusé de s'associer avec d'autres artistes musiciens "qui se sont distingués par leurs talens". Un arrêté du 29 décembre suivant les y contraint.

• 2 janvier 1795, Strasbourg : CHAPPUY, chef d'orchestre, signe deux états des musiciens "emploïés extraordinairement pour les grandes fêtes nationales de l'Être suprême, du 14 juillet, du 10 août, pour la cinquième sans-culottide et pour les répétitions et exécussions du 10 août qui ont été redemandées par les Représentans du Peuple Foussedoire et Fouchet et pour différantes musiques militaires".
• 18 mars 1795, Strasbourg : Son salaire annuel est fixé à 300 livres.
• 2 avril 1795, Strasbourg : La municipalité lui accorde 100 livres, reste de salaire d'un musicien désireux de retrouver un statut d'amateur, en guise de compensation, CHAPPUY ayant "refusé d'entrer au Comité [de direction de la musique du Temple] en raison de sa qualité de chef d'orchestre".
• 19 juin 1795, Strasbourg : L'orchestre est supprimé à la suite de la réouverture de la cathédrale aux catholiques.
• 3 juillet 1795, Strasbourg : Comme ses camarades musiciens et chanteurs, il reçoit une prime d'un montant d'un demi-quartier qui s'ajoute à son salaire trimestriel, dans son cas une somme de 112 livres 10 sols au lieu de 75 livres.

• 22 juillet 1796, Strasbourg : La municipalité attribue un passeport à la citoyenne CHAPPUY, née Tournier, désirant aller à Rust et Ettenheim [Bade-Wurtemberg] pour opérer la rentrée des capitaux et rentes à elle dus suivant obligation, accompagnée d'un voiturier.

• 5 novembre 1798, Strasbourg : Dans l'orchestre municipal formé pour l'exécution de la musique aux fêtes décadaires à célébrer dans la commune, il est premier violon, à 200 francs par an.
• 9 novembre 1798, Strasbourg : Les citoyens LAFORGUE, CHAPPUY, CLADÉDUMONCHAUBARTISCH et BUSCH, artistes dirigeant les récréations de la Réunion des Arts, demandent à la municipalité, "attendu qu'ils sont intentionnés d'ouvrir incessamment leur salle de concerts à la maison Ferrier, rue des Serruriers", de fixer la quotité de leurs rétributions au profit des pauvres, qui a été portée l'année dernière à la somme de 72 francs par concert, formant le quart de chaque recette, et qu'ils proposent de payer à nouveau cette année, "ne pouvant supporter aucune augmentation, vu que les circonstances sont peu favorables à leur entreprise qui en outre est plus dispendieuse que l'année dernière". Le corps municipal consent accepte de recevoir 72 francs par concert, à verser à la caisse du bureau de bienfaisance des pauvres.

• 17 mai 1799-17 novembre 1806, Strasbourg : Félix BARTISCH, François Laurent CHAPPUY, Charles Joseph DUMONCHAUJean-Baptiste CLADÉ et Jean Guillaume BUSCH (ce dernier jusqu'à sa mort en 1802), professeurs de musique, directeurs de la Société de la Réunion des Arts, louent une demeure au n° 5, rue des Juifs, pour y donner des concerts et des bals. Le propriétaire, le maçon Renn, doit y aménager une grande salle haute de 20 pieds sans croisée ni embrasure, "le jour venant d'en haut par un œil de bœuf à grand vitrage", avec un plafond ceintré en forme de voûte, une galerie "sur les trois faces à l'exception de celle ou sera placé l'orchestre" ayant un rang de bancs garnis et rembourrés. Sous la galerie, "il y aura également deux rangées de bancs aussi garnis et rembourrés, l'un plus élevé que l'autre et l'inférieur sur une élévation de six pouces du plancher". Par ailleurs, "l'orchestre sera construit à tiroirs à l'instar de celui de la maison du Cn. Ferrier". Le montant annuel du bail est de 3 000 francs.

• 28 novembre 1799, Strasbourg : Les concerts d'orchestre migrent en la nouvelle salle de la Réunion des Arts, rue des Juifs, dans l'ancien Poêle des Maçons. Le concert inaugural propose La Révolution du 10 août de PLEYEL et le nouvel oratorio de HAYDN, La Création, donné à Vienne en première audition peu de mois avant. Ce jour-là, le public a pu entendre CHAPPUY, premier violon solo, BARTISCH, second violon, et DUMONCHAU, violoncelle. 

• [vers 1800] : La confrérie des ménétriers alsaciens disparaît. François Laurent CHAPPUY fut le dernier porteur du titre de roi des musiciens d'Alsace, d'après l'ouvrage de Lobstein, Beiträge zur Geschichte der Musik im Elsass (1840).

• 21 avril 1801, Strasbourg : La Feuille décadaire du Bas-Rhin annonce l'organisation par les artistes et entrepreneurs de la Réunion des Arts d'un "concert spirituel" le 23 avril en leur salle, rue des Juifs n° 5, "à la demande du public [...] dans lequel on exécutera, pour la seconde fois, le grand Oratorio de Haydn : La Création du monde". Les familles "pourront prendre des arrangemens particuliers" chez le citoyen CHAPPUY, rue des hallebardes n° 9, qui pourra aussi fournir le programme du concert.

• 15 mai 1806, Strasbourg : CHAPPUY est musicien au Théâtre français.

• 1811, Strasbourg : CHAPPUY est professeur de violon au lycée.

• 9 septembre 1812, Strasbourg : François Laurent CHAPPUY, artiste musicien âgé de 60 ans, déclare le décès de son père François Laurent Chappuy, 84 ans et 6 mois, chef de bataillon, commandant d'armes par intérim, veuf d'Élisabeth Stöss, survenu la veille.

• 22 janvier 1822, Strasbourg : CHAPPUY, artiste musicien, signe l'acte de décès de Félix BARTISCH, également artiste musicien, son ancien collègue et associé.

• 7 juillet 1824, Strasbourg : Élisabeth Tournier, épouse de François Laurent CHAPPUY, artiste musicien, meurt d'un catarrhe à l'âge de 70 ans dans une maison située au n° 7, rue de la Mésange. Le décès est déclaré par l'époux et par son gendre Aloïs KUTTNER, 48 ans, artiste musicien.

• 23 décembre 1838, Strasbourg : François Laurent CHAPPUY, propriétaire, né à Strasbourg, meurt de "marasme sénile" à 87 ans 2 mois et 22 jours dans une maison au n° 7, rue de la Mésange. Il était veuf d'Élisabeth Tournier. 

Mise à jour : 26 décembre 2020

Sources
A. Cl. Pfeiffer, La vie musicale dans les lieux de culte à Strasbourg..., 2014 ; Almanach du département du Bas-Rhin pour l’année bissextile 1792 ; Almanach d’Alsace pour l’année 1783 ; Annuaire historique et statistique du Département du Bas-Rhin pour l’année 1811 ; F-Ad67/ 6 L 109 ; F-Ad67/ 6 L 110 ; F-Ad67/ B Strasbourg / St-Pierre-le-Vieux ; F-Ad67/ BMS Strasbourg ; F-Ad67/ BMS Strasbourg / Saint-Étienne ; F-Ad67/ BMS Strasbourg / St-Laurent ; F-Ad67/ BMS Strasbourg / St-Pierre-le-Vieux ; F-Ad67/ G 3196 ; F-Ad67/ G 3197 ; F-Ad67/ G 3198 ; F-Ad67/ G 3202 ; F-Ad67/ G 3203 ; F-Ad67/ G 3204 ; F-Ad67/ G 3205 ; F-Ad67/ G 3206 ; F-Ad67/ G 3207 ; F-Ad67/ G 3208 ; F-Ad67/ G 3209 ; F-Ad67/ G 3210 ; F-Ad67/ G 3353 ; F-Ad67/ M Strasbourg ; F-Ad67/ M Strasbourg / St-Louis ; F-Ad67/ NMD Strasbourg ; F-Ad67/ état civil numérisé ; F-AmStrasbourg/ 1 MW 139 ; F-AmStrasbourg/ 1 MW 141 ; F-AmStrasbourg/ 1 MW 144 ; F-AmStrasbourg/ 1 MW 145 ; F-AmStrasbourg/ 1 MW 147 ; F-AmStrasbourg/ 1 MW 151 ; F-AmStrasbourg/ 269 MW 160 ; F-AmStrasbourg/ 3 MW 23 ; F-AmStrasbourg/ 320 MW 2 ; F-AmStrasbourg/ 5 R 26 ; F-AmStrasbourg/ AA 2445 ; F-AmStrasbourg/ VII 90 ; F-An/F19/1126/1099 ; F-Strasbourg méd/ A 59724 ; Feuille décadaire du Bas-Rhin, avril 1801 ; G. Honegger, "La musique à Strasbourg au XIXe siècle à l’époque française", 1997 ; Généanet ; Journal encyclopédique ou universel, 1791 ; Site maisons-de-strasbourg.fr.nf

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