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AUBERTIN, Jean-Baptiste Maximin (ca 1766-1791 ap.)
Date(s) : 1766-9-14 ca / 1791-11-8 ap.
Fils d'un chantre de la collégiale Saint-Sauveur de Metz, Jean-Baptiste Maximin AUBERTIN entre au service de la collégiale Saint-Thiébault de la même ville. Il exerce les fonctions de chantre entre 1787 et 1790, année de la suppression du chapitre. Il semble avoir quitté la ville par la suite car les sources se tarissent à son sujet, peut-être est-il entré dans les armées de la République. L'enquête reste ouverte.
• 14 septembre 1766, Metz : Jean Maximin AUBERTIN est baptisé paroisse Saint-Gorgon le même jour que son frère jumeau Louis, tous les deux fils de Nicolas AUBERTIN, marguillier [chantre] de la collégiale Saint-Sauveur et de Lorette Naret. Il porte le même prénom que son oncle Jean Maximin Aubertin, cordonnier paroisse Saint-Simplice.
• 15 novembre 1787, Metz : Il signe avec son frère Louis aux côtés de leur père, toujours « marguillier de la collegiale st- sauveur », au bas de l'acte d'inhumation de leur frère Charles, âgé de 27 ans, paroisse Saint-Victor. Sa signature est nette, "jean baptiste maximin Aubertin" mais il ne semble alors pas encore occuper une fonction cantorale.
• [1787], Metz [Moselle] : Il entre au service de la collégiale Saint-Thiébault comme chantre.
• 29 décembre 1790, Metz : "sur la pétition du sr Augustin Carquel [Carquet], chantre du cid. chapitre de l'église collégiale de st Thiébault tendt au payement de la somme de 37# 10 s a lui due pour ses gages en cette qualité depuis le jour de St JB jusqu'à celui de Noel suivant, vu aussi le certificat du sr abbé Mathieu l'un des ci dev. chanoines dud. chap. attestatoire de la sincerité aud. requeté [?]; ... les direc. est d'avis qu'il y a lieu d'ordonner le payemt sur sa caisse au profit de l'exposant des 37# 10 s. Idem "à Jean-Baptiste Maximin Aubertin, l'un des chantres du cid. chapitre de l'église collégiale de st Thiébault". Aux côtés de Nicolas BOULANGER, Charles Augustin CARQUET et de François PERIN, il est l'un des quatre chantres de la collégiale Saint-Thiébault. C'est Henry Dominique HERMENT qui touche les orgues de cette église.
• 8 novembre 1791, Metz : "Vu la pétition de J.Bte Aubertin, aux fins d'obtenir le payement des gages en qualité de cidev. chantre de la collégiale de st-Thiebault de Metz; le directre...attendu que l'exposant n' a servi que 3 années en qualité de chantre du cidev. chapitre de st-Thiebault, est d'avis qu'il échet de lui faire payer une gratification de 37#10 sols pr une année de ses gages".
Nous perdons ensuite sa trace en dépit de recherches sur les sites généalogiques.
Mise à jour : 30 décembre 2019