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BERTIN, Jean Louis (1764-1847)
État civil
NOM : BERTIN     Prénom(s) : Jean Louis     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : BERTIN DILLOY
Date(s) : 1764-4-30  / 1847-1-30 
Notes biographiques

Second maître de musique de la cathédrale Notre-Dame, Jean Louis BERTIN, âgé de 25 ans seulement en 1790, a encore l'essentiel de sa carrière devant lui. Il s'illustre comme double du chant à l'Opéra à partir de 1792, interprétant quantité de rôles secondaires du répertoire de l'époque du Directoire à la fin de l'Empire. Excellent musicien, fervent admirateur de Gluck et de Grétry, il s'intéresse aux œuvres de Mozart, en particulier Cosi fan tutte et Idoménée qu'il projette d'adapter pour la scène française. Il meurt octogénaire un an avant la proclamation de la Seconde République.

• 30 avril 1764, Illois [Seine-Maritime] : Jean Louis BERTIN, né le jour même du mariage de Louis Bertin, clerc de la paroisse, et de Marie Madeleine Quesnel, reçoit le baptême en l'église Saint-Aubin. Le parrain est le curé du lieu, Jean Charles Dausse. Dans son contrat de mariage, BERTIN indique "cultivateur" comme profession paternelle.

• 19 septembre 1787, Paris : Jean Louis BERTIN, acolyte du diocèse de Rouen, est admis comme machicot [musicien] à la cathédrale Notre-Dame.

• 27 février 1788, Paris : BERTIN, acolyte du diocèse de Rouen, machicot de Notre-Dame, demande à être promu au sous-diaconat à la prochaine ordination. Le chapitre ordonne qu'il soit examiné à cet effet par le chanoine de Malaret.
• 4 mars 1788, Paris : Il est ordonné sous-diacre en la chapelle du palais épiscopal par Mgr Meroudot-Dubourg, évêque in partibus de Babylone. 

• 6 octobre 1788, Paris : Jean Louis BERTIN, machicot de Notre-Dame, est chargé de conduire les enfants de chœur à la sacristie et au chœur, et de les y surveiller, lorsque le maître de musique ne le peut pas. Il est autorisé à coucher à la maîtrise et à y prendre ses repas. Il ne perçoit pas de rémunération supplémentaire pour cette tâche. C'est à partir de cette date que l'on peut considérer qu'il fait office de second maître de musique.

• 28 janvier 1789, Paris : BERTIN, sous-diacre du diocèse de Rouen, succède à BRIELLE comme chapelain sous-diacre de Sainte-Catherine.

• 17 juin 1789, Paris : Jean Louis BERTIN prend possession du canonicat sous-diaconal de Saint-Jean-le-Rond vacant par le décès de SOYER.

• [vers la fin de 1790], Paris : Dans un état de la maîtrise de la cathédrale, Jean Louis BERTIN est présenté comme sous-diacre du diocèse de Rouen, natif d'Illois, âgé de 27 ans, "tenant lieu d'un second m[aî]tre depuis plus de 2 ans, pour conduire les enfans à l'église".

• 1er novembre 1790, Paris : Jean Louis BERTIN déclare ses revenus. Il perçoit 2 153 livres 10 sols, moins 14 livres 11 sols et 3 deniers de charges (rentes), soit 2 138 livres 18 sols 9 deniers de revenu net.

• 1er octobre 1791, Paris : Son traitement est fixé définitivement à 1 511 livres 9 sols 8 deniers.

• Avril 1792, Paris : Jean Louis BERTIN est engagé comme double du chant à l'Opéra. D'après Fétis, il débuta le 25 novembre 1792 dans Castor et Pollux.

• 2 janvier 1794 (13 nivôse an II), Paris : Jean Louis BERTIN, "citoyen français", contracte mariage avec Jeanne Théodore Vallain, fille Louis Pierre Vallain, expert-écrivain, et d’Élisabeth Julie Dautrepe son épouse. Le beau-père n'était pas le premier venu, puisqu'il enseigna l'écriture au prince de Condé, écrivit un Traité sur la preuve par comparaison d’écritures, pour servir de réponse au traité de M. Le Vayer sur le même sujet, Paris, 1761, et fut membre du Bureau académique d'écriture. BERTIN, qui réside encore dans le cloître de Notre-Dame, apporte ses meubles, hardes et linge, le tout estimé à une somme de 2 400 livres, "provenant de ses gains et épargnes". Les beaux-parents constituent à leur fille une dot de 1 800 livres sur leurs successions futures. Elle-même se constitue en dot la somme de 600 livres "composée de son forte piano, de ses habits, nippes, linges et hardes à son usage, provenant de ses économies et épargnes".
• 12 janvier 1794 (23 nivôse an II), Paris : Jean Louis BERTIN, artiste, épouse Jeanne Théodore Vallain, qui deviendra chanteuse à l'Opéra en 1798. En 1804, il justifiera son mariage auprès du cardinal Caprara "par sa crainte de servir dans les armées, la tourmente de la Révolution et la fragilité humaine".

• 1797, Paris : Il crée le rôle d'un capitaine de vaisseau anglais dans l'opéra en deux actes Les Français en Angleterre, musique de Foignet.

• 1er décembre 1798, Paris : Il renouvelle son engagement comme double du chant à l'Opéra. Il perçoit 3 000 francs d'appointements fixes et la même somme en appointements variables. Il demeure au n° 48, rue de Bondy.

• 10 avril 1801, Paris : BERTIN participe à un concert organisé par le Grand Orient de France en l'honneur du retour de la paix, à la suite du traité de Lunéville. Il y entonne un air de Lebreton père et une cantate de sa composition est chantée par les sieurs Fay et La Forêt.
• 12 avril 1801, Paris : Il crée le rôle du grand prêtre Calchas lors de la première d'Astianax, opéra en trois actes, musique de KREUTZER.
• 12 juin 1801, Paris : BERTIN fait une démarche auprès du ministre de l'Intérieur pour toucher ses arriérés de salaire des ans VII et VIII, ou au moins un secours provisoire. Il demande aussi à être nommé "remplacement immédiat" du chanteur Lays.
• 19 juin 1801, Paris : Furieux de ne pas avoir reçu "suivant l’usage" les deux places d’orchestre ou d’amphithéâtre traditionnellement accordées aux artistes avant une représentation, BERTIN refuse de jouer dans l'opéra Les Prétendus. Cette décision irréfléchie, prise sous le coup de la colère, entraîne sa suspension immédiate sine die (et non un renvoi véritable, pourtant officiellement notifié à l'intéressé).
• 20 juin 1801-26 avril 1802, Paris : Il lui est interdit de monter sur scène, même en province. Pendant cette période, il écrit deux fois au ministre de l'Intérieur pour tenter de se justifier. Il reconnaît avoir fait preuve d'une trop grande vivacité, mais trouve la sanction d'une sévérité excessive. Il rappelle son dévouement pour le Théâtre des Arts et sa conduite irréprochable jusqu'à l'incident de juin 1801. Il s'adresse aussi au conseiller d'État Roederer, en charge de l'Instruction publique. Ses collègues se mobilisent en sa faveur en sollicitant sa réintégration, en particulier LAŸS et Vestris qui jouissent alors d'une grande autorité.
• 26 avril 1802, Paris : Il est réintégré. Ce retour en grâce est moins dû à ses sollicitations qu'à l'insuffisance de son remplaçant Dufresne, souvent malade et peu apprécié du public. Les administrateurs de l'Opéra, pourtant à l'origine de sa punition, ont demandé son rappel dès novembre 1801.
• 24 décembre 1802, Paris : BERTIN organise des concerts du Grand Orient entre 1801 et 1811, avec la participation de membres de l'Académie impériale de musique, dont certains sont aussi francs-maçons (LAŸS, Nourrit, Dérivis, Laforêt). Lors de l'inauguration officielle du nouveau local du Grand Orient, rue du Vieux-Colombier, une "harmonie éclatante" emplit le parvis et "suspendit tout sentiment" dans le cœur des frères. Une "mélodie majestueuse et tendre d'un cantique" fut chantée par des frères, sur les paroles du f. Rizaucourt avec musique du f. BERTIN de l'Opéra. Des couplets du f. Beaumont, mis en musique par le f. La Forêt, artiste de l'Opéra, furent chantés (d'après Auguste Bord, La franc-maçonnerie en France des origines à 1815, Paris, 1909).

• 1803, Paris : BERTIN participe à la Fête d'Adoption de la loge de La Vraie Réunion avec d'autres célébrités de l'Académie impériale de musique.
• 22 novembre 1803, Paris : Pour la Sainte Cécile, L'oratorio de HAYDN, remanié par BERTIN, est exécuté à Saint-Roch. "C’est lui qui, de l'oratorio d'Haydn, composa cette messe solennelle qui fut chantée le jour de Sainte-Cécile" (Annales dramatiques de 1809).

• 22 mai 1804, Paris : BERTIN demande au cardinal Caprara, légat du pape en France, la ratification de son mariage par l'Église. Il en obtient une réponse favorable le 27 mai.

• Fin 1805, Paris : Jean Louis BERTIN, artiste de l'Académie impériale de Musique, figure sur une liste des membres de la loge maçonnique la Paix immortelle comme affilié libre résident, avec le grade de rose-croix. Le tableau de la loge nous renseigne qu'il demeure au no 6 du boulevard Saint-Martin. Il appartient à différentes loges entre 1805 et 1816. Il chante régulièrement pour différentes loges entre 1808 et 1819, en différentes circonstances et pour différentes loges. Il compose des cantiques maçonniques.

• 4 janvier 1808, Paris : Dans une lettre à Picard, directeur de l'Académie impériale de Musique, Jean Louis BERTIN demande à récupérer la place de "remplacement" dont il jouissait lorsque M. de Luçay a pris les rênes de l’administration de l’Opéra, qu'il avait gagnée par ses services et son ancienneté et qui lui rapportait des droits appelés "feux". Cette réclamation restera lettre morte. Il demande en outre à ne pas être privé des rôles de l’ancien répertoire, pour lesquels il estime avoir des "droits acquis".

• 1808-1812, Paris : Jean Louis BERTIN est chanteur soliste lors de différentes cérémonies en actions de grâces à la cathédrale Notre-Dame : pour l'anniversaire du sacre de Napoléon le 4 décembre 1808 (il reçoit pour cela 24 francs), pour la prise de Vienne le 28 mai 1809 (72 francs), pour la saint Napoléon le 15 août suivant en tant que coryphée [basse] (18 francs), à nouveau pour la saint Napoléon le 15 août 1812 (48 francs) et pour la victoire de la Moskowa le 4 octobre suivant (48 francs).

• 1808, Paris : Il chante, avec Baptiste et FASQUEL, lors de la Saint-Jean d'Hiver 1808 du Grand Orient de France.

• 1809, Paris : D'après les Annales dramatiques, Jean Louis BERTIN "a de l’intelligence et du goût ; pour le chant et même pour le jeu, il est un des premiers sujets de l’Opéra. Comme compositeur de musique, il a de justes droits à l'estime du public".

• 28 novembre 1809, Paris : Il crée le rôle de Moralez, ami et confident de Cortez, dans l'opéra en trois actes Fernand Cortez, ou la Conquête du Mexique, musique de Spontini.

• Janvier 1810-juin 1815, Paris : Jean Louis BERTIN est basse-taille dans le petit chœur récitant de la Chapelle impériale. Ses appointements annuels s'élèvent à 1 200 francs.

• 8 août 1810, Paris : Il crée le rôle du grand brame Narséa dans l'opéra en trois actes Les Bayadères, musique de Catel.

• 3 avril 1811, Paris : À Notre-Dame, une messe de Requiem en symphonie et à grand chœur, de M. CORNU fils, élève de la Maîtrise, est exécutée. "Cette composition a mérité les suffrages de tous les musiciens et amateurs qui ont assisté à cette cérémonie. On a remarqué un duo très bien chanté par M. Bertin et un jeune enfant de chœur, et un morceau auquel la belle voix de M. Lavigne, de l'Opéra, a apposé le cachet de la perfection. Enfin cette production est le germe d'un talent musical qui doit fonder les plus belles espérances" (Journal de l'Empire). On note que BERTIN avait gardé d'étroites relations avec les musiciens de la cathédrale.
• 5 novembre 1811, Paris : Dans une lettre à Picard, directeur de l'Opéra, BERTIN demande à nouveau à être réintégré dans la place de "remplacement", qu'il occupait avant la direction de Cellerier. Berton lui avait promis en 1810 de faire valoir ses droits auprès de l’administration, mais il n'a rien obtenu. BERTIN devait jouer le rôle d'Oskar dans l'opéra les Bayadères, mais on lui a fait finalement fait savoir qu'il était impossible "de doubler trois rôles dans le même ouvrage". Il doit donc faire le sacrifice d'un rôle qui pouvait lui faire honneur. Il est amer : "J'ai souffert en silence et sans me plaindre et n'en ai pas moins continué de remplir mon devoir avec zèle. Vous avez pu voir vous-même, Mr le Directeur, que souvent je remplis deux rôles dans une même pièce, que souvent aussi je joue le même jour dans deux opéras différens, que d'un autre côté je puis me glorifier que le public me voit avec quelque plaisir". La retraite de M. Lainez laisse une place de "remplacement" vacante, qu'il demande au directeur. Sa demande sera rejetée le 1er janvier 1812.
• 17 décembre 1811, Paris : Par arrêté du surintendant des spectacles, BERTIN est mis aux arrêts six jours pour avoir manqué une représentation des Amazones, ou la Fondation de Thèbes. Il a en fait été victime d’un accident le mettant dans l'impossibilité de marcher. Le directeur Picard obtient rapidement son élargissement. 

• 15 septembre 1812, Paris : Jean Louis BERTIN crée le rôle de Godefroi de Bouillon, chef des croisés, dans l'opéra en cinq actes La Jérusalem délivrée, musique de Persuis.
• 2 octobre 1812, Paris : Il écrit au directeur de l'Opéra Picard au sujet de l'ouvrage Les amants napolitains, ou la Gageure indiscrète dont il a arrangé la musique, sur des paroles d'Antoine Le Bailly ; il s'agit d'une adaptation de Cosi fan tutte de Mozart. Il lui demande d'obtenir du surintendant "l'ordre nécessaire pour en faire entendre une répétition générale au Théâtre", afin que l'administration se prononce sur le sort de l'œuvre.

• 31 janvier 1813, Paris : Le directeur de l'Opéra Picard communique à BERTIN la liste des rôles "de peu d’importance" que les "anciens artistes" doivent laisser aux "artistes les moins habitués à la scène", selon les vœux du surintendant des spectacles. Il s'agit du grand prêtre d'Œdipe, du grand prêtre dans le Triomphe de Trajan, d'Abner dans Saül, de Léonidas dans Anacréon, du premier prêtre dans les Mystères [d’Isis], d'Apollon dans Alceste et de Salgar dans Ossian.

• 28 décembre 1814, Paris : Lors de la Saint-Jean d'Hiver au Grand Orient, "M. Bertin fait entendre une cantate dont il avait composé la musique sur des paroles de M. de Beaumont-Bouillon" (Thory, Acta Latomorum, p.259).

• 30 mai 1815, Paris : Il crée le rôle du grand mage dans l'opéra en trois actes La princesse de Babylone, musique de KREUTZER. C'est son chant du cygne.
• 31 octobre 1815, Paris : Le directeur de l'Opéra informe Jean Louis BERTIN qu’il est compris dans l'état des réformés décidé par le ministre et qu'en conséquence son activité cessera le 1er mai 1816, date à laquelle sera fixée sa pension.

• 31 décembre 1816, Paris : Il est officiellement mis en retraite. Ses appointements d'artiste double du chant, à la fin de sa carrière, s'élèvent à 6 000 francs. Il obtient une pension de retraite de 2 500 francs.

• Janvier 1823, Paris : BERTIN propose une adaptation de l'ouvrage de Mozart Idoménée à l'administration de l'Opéra, coécrite avec le dramaturge Louis Charles Caigniez.

• 20 février 1825, Paris : Sa femme Jeanne Théodore Vallain décède.
• Octobre 1825, Paris : BERTIN sollicite l'organisation d'une répétition à l'Opéra pour sa version de l'ouvrage de Mozart Idoménée. Le vicomte de La Rochefoucauld, chargé du département des Beaux-Arts, s'intéresse au projet, mais l'administrateur Duplantys y est défavorable. Au final, l'opéra ne sera pas monté.

• 1er avril 1833, Paris : Sa fille unique Astasie Théodore Bertin, épouse de Marie Charles Génaut, meurt sans laisser d'enfants.

• 8 novembre 1836 : BERTIN fait l'acquisition d'une maison de campagne à Vaugirard, n° 20 rue du Parc, au prix de 14 000 francs.

• 13 mars 1838, Paris : Jean Louis BERTIN rédige son testament. Il demande que soit édifiée sur sa tombe une pierre tumulaire en forme de pyramide (rappel de son affiliation à la franc-maçonnerie ?). Il fait de Louise Saléma Lorotte, née en 1808, sa légataire universelle. Il conservait chez lui deux portraits de famille réalisés par sa belle-sœur Nanine Vallain (1767-1815), artiste-peintre connue en son temps, qui fut l'élève de David.

• 30 janvier 1847, Vaugirard [Seine] : Jean Louis BERTIN, rentier, veuf de Jeanne Théodore Vallain, s'éteint à son domicile à l'âge de 83 ans. Son décès est déclaré le jour même par Henri Joseph Taskin, professeur de musique.
• 30 mars 1847, Vaugirard : Son mobilier est estimé à la somme 1 730,80 francs, à laquelle s'ajoute celle de 1 000 francs en deniers comptants trouvée après son décès. Jean Louis BERTIN vivait très confortablement dans sa demeure cossue, entouré de ses livres et de ses chers instruments de musique (deux pianos anciens, une épinette, un basson, une mandoline) et servi par une domestique. Il possédait un recueil de livrets d'opéras et une curieuse "épingle en or montée de deux portraits de Gluck et de Grétry entourée de petites turquoises", prisée 20 francs.

Mise à jour : 30 décembre 2022

• • • Liens

- Sur les activités maçonniques de Jean Louis Bertin : http://mvmm.org/m/docs/bertin.html

Sources
A. Bord, La franc-maçonnerie en France des origines à 1815, Paris, 1909 ; Annales dramatiques, ou Dictionnaire général des théâtres, 1809 ; Calendrier Musical Universel, suite de l'Almanach Musical, année 1788 ; Calendrier musical universel ; Castil-Blaze, Théâtres lyriques de Paris ; Delarc, L'Église de Paris pendant la Révolution française ; Dictionnaire néologique des hommes et des choses, t. 2, 1795 ; E. G. J. Gregoir, Souvenirs artistiques..., t. 3, 1889 ; F-Ad75/ 5 Mi 1 2008 ; F-Ad76/ 4E 01065 ; F-An/ AF/IV/1915 ; F-An/ AJ/13/115 ; F-An/ AJ/13/176 ; F-An/ AJ/13/45 ; F-An/ AJ/13/54 ; F-An/ AJ/13/57 ; F-An/ AJ/13/64 ; F-An/ AJ/13/79 ; F-An/ AJ/13/83 ; F-An/ ET/CXIII/955 ; F-An/ F19 7048 ; F-An/ F19 7049 ; F-An/ F19/612/3 ; F-An/ H5/3674/2 ; F-An/ LL 232/ 40 ; F-An/ LL 232/ 41 ; F-An/ LL 232/41/2 ; F-An/ MC/ET/CI/755 ; F-An/ MC/ET/CXIII/955 ; F-An/ O/2/62 ; F-An/ S 7051 ; F-BnF/ Fichier Bossu 26 ; F-Pan/ F19/7049 ; Gallica ; Livrets ; Miroir de la vérité, dédié à tous les maçons ; N.Desgranges, Bernard Jumentier (1749-1829), maître de musique de la collégiale de Saint-Quentin, 1997 ; Quérard, La France littéraire, 1828 ; Règlement de R. L. de la Paix immortelle

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