Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
MARCENAC, le fils (1775-1793 ap.)
Complément de nom : le fils
Autre(s) forme(s) du nom : MARCENAT
Date(s) : 1775 entre crochets / 1793 ap.
On sait peu de choses sur MARCENAC le fils. Cependant il est fermement attesté que MARCENAC a été enfant de chœur à la cathédrale Saint-Pierre de Saintes, avant 1793 où son emploi se voit supprimé. Au vu de la gratification élevée qu'il obtient en 1793 pour ses services, il était en poste en 1790 et déjà plusieurs années auparavant.
• MARCENAC est reçu comme enfant de chœur à la psallette de la cathédrale de Saintes à une date qui reste à déterminer. On peut supposer qu'il y est entré vers 1782-1783, en tout cas avant le début du registre capitulaire accessible (21 mars 1783), ce qui voudrait dire qu'il serait né vers 1775-1776.
• 1790, Saintes : MARCENAC le fils est en poste comme enfant de chœur à la cathédrale Saint-Pierre, en compagnie notamment de Pierre EMERY, Julien Vivien MERY, François Henri BOUTIN, Louis Léonard BOUTIN et d'un autre enfant de chœur, tous sous la direction de Jean-Claude JOSSE.
• Août-septembre 1793, Saintes : Le citoyen Marcenac, père de l'enfant de chœur MARCENAC, demande pour son fils une gratification à laquelle il a droit en vertu de la loi du 1er juillet 1792.
Le 1er août, le district de Saintes émet un avis et le 26 septembre lui accorde une gratification de "160 livres", ce qui correspond au niveau de gratification accordée aux enfants de choeur qui ont accompli dix années de service. Son profil est comparable à celui de Pierre EMERY.
Après quoi on perd sa trace...
Dernière mise à jour : 28 avril 2016