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Pour citer Muséfrem
GIRON, Pierre Bernard, à Libourne (1757-1793 fl.)
Complément de nom : à Libourne
Date(s) : 1757-11-26 / 1793-12-16
On ne sait que très peu de choses sur la vie et la carrière de Pierre GIRON, si ce n'est qu'il fut le dernier organiste en poste à l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste de Libourne [Gironde], avant la Révolution et qu'il appartient sans doute à une longue lignée de musiciens du Limousin.
• 26 novembre 1757, Brive : Le maître de musique de la collégiale St-Martin Pierre (fils) COIFFE dit GIRON fait baptiser son fils aîné Pierre Bernard. Le nouveau-né reçoit pour parrain son oncle paternel Bernard GIRON et pour marraine Marguerite Chastel de Chaumond. Pierre Bernard se forme sans doute à la musique avec son cadet Jean-Baptiste en recevant les leçons de son père, voire de son grand-père Pierre (père) COIFFE dit GIRON, attaché aussi à la collégiale.
• 1er décembre 1785, Libourne : Un certain Pierre GIRON, qui vient de Brive, postule pour le poste d'organiste de l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste à la suite du décès de Jean-Baptiste JANEAU. On ignore l'âge du musicien mais il s'agit peut-être du petit garçon évoqué ci-dessus, qui devenu adulte, aurait quitté sa famille et parcouru 180 kilomètres pour candidater à ce qui serait alors l'un de ses premiers postes voire le tout premier. Un temps en concurrence avec la demoiselle BAUDENAC, Pierre GIRON est finalement recruté car cette dernière ne s'est pas présentée à l'audition organisée par la fabrique.
• 18 juillet 1786, Libourne : La fabrique augmente ses gages de 400 à 550 livres par an.
• 1790, Libourne : Il est toujours organiste à l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.
• 16 décembre 1793, Libourne : Le citoyen GIRON perçoit toujours 550 livres par an.
Après quoi on perd sa trace.
Mise à jour : 10 août 2017