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FÉRAY, Pierre (1741-1805)
État civil
NOM : FÉRAY     Prénom(s) : Pierre     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : FERREY
FERRAY
FERET
FERRÉ
Date(s) : 1741-5-18   / 1805-1-4 
Notes biographiques

Pierre FÉRAY, d'origine normande, est formé à la maîtrise de la cathédrale Notre-Dame de Paris entre 1749 et 1761. Doté d'une belle voix de haute-contre, demandée jusqu'en province, et doué pour la composition, il se fait remarquer au Concert spirituel et fréquente les salons aristocratiques de la capitale. Toutefois, il choisit la carrière bénéficiale, plus sûre, et après divers postes encore mal documentés (sauf Rouen en 1762), il revient au sein de son ancienne église dès 1770. La Révolution lui fait perdre les avantages de son bénéfice mais lui permet de se marier. Il n'a aucun mal à se reconvertir comme chanteur à l'Opéra.

• 18 mai 1741, Rouen : Pierre FÉRAY, fils d'Élie Charles Féray et de Marie Jeanne Testard, naît sur la paroisse Saint-Laurent, où il est baptisé le lendemain.

• 12 septembre 1749, Paris : Pierre FÉRAY est reçu enfant de chœur à la cathédrale Notre-Dame. Il remplace Louis François MARCHAND, recruté seulement deux jours auparavant.

• 2 juin 1755, Paris : Malade, il obtient la permission d'aller récupérer sa santé aux eaux de Bourbon-l'Archambault ; le chapitre lui accorde à cet effet la somme de 400 livres.
• 18 juillet 1755, Paris : On lui accorde un délai pour revenir.

• 18 mai 1759, Paris : Troisième enfant de chœur, il reçoit la permission de faire chanter en musique la messe de l'Ascension.

• 5 septembre 1760, Paris : Pierre FÉRAY, spé des enfants de chœur, reçoit la permission de faire chanter en musique le troisième psaume avec le Magnificat dans le chœur de Notre-Dame le jour de la fête de la Nativité de la Vierge.

• 4 septembre 1761, Paris : Pierre FÉRAY obtient le droit de faire chanter en musique à la chapelle de la Vierge du chevet la messe et le cinquième psaume avec le Magnificat à l'aigle [du chœur].
• 7 septembre 1761 : Il quitte la maîtrise après les vêpres de la fête de la Nativité de la Vierge et reçoit une gratification de 300 livres. Le chapitre le conserve comme choriste.
• 14 septembre 1761 : Il obtient la permission d'être tonsuré.

• 15 janvier 1762, Rouen : Maître Pierre FÉRAY, musicien, est choisi et nommé par le chapitre de la cathédrale Notre-Dame "pour remplir la place de maître de musique de cette église vacante par le décès de me Jean-Baptiste DULUC". Ce choix semble avoir été fait à distance, sur la foi d'un "rapport fait sur les talents" du jeune homme et "lecture faite des certificats de ses bonnes vie et mœurs".
• 12 février 1762, Rouen : Pierre FÉRAY est arrivé à Rouen. Il se présente à la barre du chapitre et le jour même, pendant l'office de vêpres, il est mis en possession de sa place de maître de musique "aïant été installé dans la basse forme du côté gauche du chœur". Peut-être ne prend-il toutefois réellement ses fonctions qu'à compter du 15 février puisque c'est jusqu'à cette date qu'est rémunéré le musicien VOYER "aïant donné la mesure dans la musique de cette église depuis le décès de Me DULUC Maître de Musique jusqu’à ce jour".
• 19 février 1762, Rouen : Maître Pierre FÉRAY, "clerc du diocèse de Rouën et maître de musique de cette église", est nommé à la chapelle ou petite prébende des Quinze livres et à la place du collège du Saint-Esprit, l'une et l'autre rendue vacantes par le décès de Jean-Baptiste DULUC, le 21 octobre précédent. Précisons qu'entre temps la maîtrise a été tenue par le sous-maître, Pierre François Desvaux, et par un chapelain de chœur nommé Renoult, aidés par le grand enfant de chœur, Louis BUGLE, qui a fait exécuter plusieurs motets et a donné des leçons aux autres enfants de chœur.
• 11 mars 1762, Rouen : "Feray maître de musique" signe un minutieux inventaire des effets de la maîtrise cathédrale dressé le 13 janvier précédent, c'est-à-dire avant son arrivée. On y lit clairement le cadre de vie et de travail des dix enfants de chœur et de leur maître de musique. Dans la salle des enfants une grande table et trois bancs servent à l'étude. Chaque enfant dispose d'un coffre "attaché au lambris". Un cabinet à côté garni de planches et d'une table sert de bibliothèque. On y trouve : "un graduel en deux tomes a l'usage du diocèse, un antiphonier de mesme, un  graduel fait à la main, un livre d'hymnes en fleurti fait à la main et deux livres de messes imprimées", ainsi qu'une dizaine de livres de piété. Une pièce est appelée "la petite chambre du clavecin", et l'on y trouve un clavecin "sur deux traiteaux".
• Dès le 16 août de la même année, Pierre FÉRAY a quitté la cathédrale de Rouen où il est remplacé par "Maître Gilles BELLANGER prestre du diocèse de Beauvais".

• 22 janvier 1766, Paris : Pierre FÉRAY, clerc du diocèse de Rouen, ancien spé des enfants de chœur de la cathédrale Notre-Dame, est reçu parmi les machicots [musiciens].

• 2 juin 1766, Paris : "Sur les plaintes de Mr le Chantre, Mrs ont mandé à la barre du chapitre le sr FERRÉ, machicot de l'Eglise de Paris, lequel y etant, Mr le Doyen, au nom du Chapitre, lui a ordonné d'aller faire des escuses à Mr Verchere l'un des intendants de la maîtrise envers qui le sr Ferré a manqué de respect dans la maitrise en presence des enfants de chœur, lui a interdit l'entrée de la maitrise et en meme temps enjoint d'etre plus modeste et plus assidu au chœur, de n'en point sortir pendant l'office pour aller causer a la sacristie, et de porter des souliers appelés patins lorsqu'il portera chappe". A-t-il quitté ses fonctions à la suite de cet incident ?

• 25 septembre 1766, Paris : "M.Feray, Auteur du PRINTEMS, Ariette à voix seule, dédiée à Mad. Pavé de Provenchères, vient de mettre au jour une nouvelle Ariette qui a pour titre : LES PETITS MOUTONS. Elle se vend chez l'Auteur, cloître Notre-Dame ; & aux adresses ordinaires" peut-on lire dans le numéro 76 des "Annonces, affiches & avis divers".

• 4 septembre 1769, Paris : Les "Annonces, affiches & avis divers" annoncent la vente du "BON CONSEIL, 3e Ariette, avec accompagnement de 2. violons, composée par P. Feray, Maître de goût. Prix 1 liv.4 s. Au bureau d'abonnement musical, cour de l'ancien grand Cerf S.Denis, & aux adresses ordinaires".
• 1er novembre 1769, Paris : Au Concert spirituel, PLATEL chante un petit motet à voix seule tiré du psaume Diligam te, composé par Pierre FÉRAY, musicien de la duchesse de Villeroy.
• 4 décembre 1769, Paris : HUGARD DE SAINT-GUY, marchand de musique établi à l'Accord-Parfait, place du Vieux-Louvre,  annonce avoir "mis au jour plusieurs nouvelles ARIETTES de différens Auteurs, sçavoir MM.Feray, Gresset, Witzhumb & autres".
• 8 décembre 1769, Paris : Au Concert spirituel, "M. Durand a chanté un nouveau motet à voix seule d'une composition très-agréable, de M. l'abbé Feray, ordinaire de la musique de Madame la Duchesse de Villeroy".

• 5 novembre 1770, Paris : Pierre FÉRAY, clerc du diocèse de Rouen, est à nouveau reçu parmi les machicots [musiciens] de la cathédrale Notre-Dame.
• 25 décembre 1770, Paris : Au Concert spirituel, les Noëls jouées à l'orgue par BALBASTRE sont suivis "d'un motet nouveau à deux voix, de la composition de M. l'Abbé FERAY, de la Musique de la Cathédrale, exécuté par M. Legros & Madame Julien. [...] Le Motet de M. l'Abbé FERAY est plein de choses charmantes ; le chant en est d'un bon genre, fort agréable, & le Dialogue en est rempli d'esprit & de goût".

• 28 janvier 1771, Paris : On peut se procurer la partition de la "VII° Ariette de M.Feray, Me de goût"  chez "le sieur Hugard de S.Guy, Md de Musique de S.A.S Mad. la duchesse de Chartres, place du Vieux Louvre, près de l'Académie de Peinture, à l'Accord parfait" d'après les "Annonces, affiches et avis divers", n°8 de cette année-là.
• Mars ou avril 1771, Paris : Pierre FÉRAY chante au Concert spirituel ; ce sera la seule fois semble-t-il en tant que musicien de la cathédrale.

• 17 août 1772, Paris : Pierre FÉRAY, clerc du diocèse de Rouen, machicot de Notre-Dame, est nommé chapelain de Sainte-Catherine à la place de LACRAMPE.
• 25 septembre 1772, Paris : Le chapitre de Notre-Dame lui accorde la permission de se rendre au séminaire Saint-Magloire afin d'y suivre pendant neuf mois les exercices spirituels préparatoires à la promotion au sous-diaconat.

• 12 février 1773, Paris : Pierre FÉRAY succède à Louis LE VASSEUR dans un canonicat sous-diaconal de Saint-Denis-du-Pas.
• 20 mars 1773, Paris : Le chapitre permet à ce clerc du diocèse de Rouen d'être promu au sous-diaconat et se retirer au séminaire afin de s'y préparer ; à cette fin, il sera examiné par le chanoine Dubois-Basset.
• 3 août 1773, Meaux : Venu de la capitale en compagnie de François GIROUST et de l'abbé DUGUÉ, ainsi que de plusieurs chanteurs de la cathédrale de Paris (Pierre LARSONNIER...), Pierre FÉRAY entend le motet de Charles HÉRISSÉ, le maître de musique de la cathédrale Saint-Étienne de Meaux, qui avait été couronné au concours de Saintes trois ans auparavant.

• 23 novembre 1775, Paris : Pierre FÉRAY obtient le canonicat diaconal de Louis LE VASSEUR vacant depuis le mois de mai. Le sien passe à DESEAUX.

• 21 juin 1776, Paris : Pierre FÉRAY, chanoine diacre de Saint-Denis-du-Pas, obtient la permission de se rendre au séminaire de Saint-Nicolas-du-Chardonnet afin de suivre les exercices spirituels qui lui permettront de se préparer à être promu au diaconat.

• 29 septembre 1776, Paris : Annonce de son ordination diaconale le samedi des Quatre-Temps en l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet par Mgr de la Roque.

• 1779, Paris : Il figure parmi les hautes-contre de la cathédrale d'après l'Almanach musical.

• 1er octobre 1781, Amiens : Les chanoines de la cathédrale accordent 24 livres de gratification à maître FÉRAY ["FERET"], haute-contre de Paris, "qu’ils ont retenu pour la messe de la reine" (il s’agit de son "heureuse délivrance"). 

• 1785, Paris : Les Tablettes de renommée des musiciens le mentionnent comme "Haute-Contre à Notre-Dame, & Compositeur".

• 28 juin 1786, Paris : Toujours qualifié de chanoine-diacre de Saint-Denis-du-Pas, Pierre FÉRAY reçoit la permission d'aller au séminaire de Saint-Nicolas-du-Chardonnet à partir du 1er juillet pour une période de trois mois afin de se préparer à recevoir la prêtrise.

• 8 janvier 1787, Paris : Pierre FÉRAY, chanoine de Saint-Denis-du-Pas, obtient un congé de six semaines pour se préparer à recevoir la prêtrise.
• 10 mars 1787, Paris : Le chapitre de la cathédrale accorde à Pierre FÉRAY, diacre du diocèse de Rouen, chanoine de Saint-Denis-du-Pas, l'autorisation d'être promu à la prêtrise.

• 23 février 1790, Paris : Il est toujours chanoine-diacre de Saint-Denis-du-Pas d'après la déclaration des revenus et charges du chapitre.
• 1790 (avant le 4 août), Paris : Pierre FÉRAY, bénéficier de la cathédrale, fait partie des citoyens actifs de la section de Notre-Dame. Il réside au n° 14, cloître Notre-Dame.
• 15 octobre 1790, Paris : Pierre FÉRAY, chanoine diacre de Saint-Denis-du-Pas, obtient quinze jours de congé pour aller soigner sa santé à la campagne, avec maintien des distributions au chœur.
• 13 décembre 1790, Paris : Pierre FÉRAY, prêtre, chanoine de Saint-Denis-du-Pas, fait partie des signataires d'un arrêté rédigé par une partie des bénéficiers de Saint-Denis-du-Pas et de Saint-Jean-le-Rond et des vicaires de Saint-Aignan, dans lequel ils "désavouent et improuvent toutes protestations et déclarations secrètes et publiques, sous le nom du Chapitre de Paris, contre la constitution civile du Clergé, décrétée par l’Assemblée Nationale et acceptée par le Roi, et offrent de prêter le serment exigé des Fonctionnaires Ecclésiastiques".

• 12 avril 1791, Paris : Pierre FÉRAY occupe, moyennant un loyer de 220 livres, un logement dans la maison attachée au bénéfice canonial de Saint-Denis-du-Pas détenu par son collègue Jean Robert DUCLOS (n°14 du cloître Notre-Dame, maison mitoyenne de celle de la communauté des chantres, cour des Chantres).

• 12 brumaire an II (2 novembre 1793), Paris : Pierre FÉRAY contracte mariage avec Jeanne Charlotte Le Camus, ouvrière en dentelles, fille majeure de Jean Le Camus et de Marie-Louise Lesage. Lui-même est qualifié de prêtre, demeurant rue Neuve-Saint-Roch, section de la Montagne. Il se marie avec 4 000 livres tant en deniers comptants qu’en habits, linge et hardes et effets mobiliers à son usage ; la future, de son côté, apporte la somme de 600 livres tant en deniers comptants qu’en habits, linge et hardes à son usage, provenant de ses économies. L'un des signataires de l'acte est Nicolas SÉJAN, organiste de la cathédrale.

• 1796, Paris : Pierre FÉRAY est engagé comme taille dans les chœurs de l'Opéra avec 1 200 livres d'appointements.

• [décembre 1800], Paris : FÉRAY, "artiste des chœurs de l'Opéra", demande à toucher quatre mois d'appointements de l'an V qui ne lui ont pas été payés, soit la somme de 333,30 francs (il touche alors 1 000 francs par an). Il déclare être dans une "malheureuse position" ; poursuivi par des créanciers et le receveur des impositions, il a "vendu la plus grande partie de ses effets pour subsister, lui, et sa famille". Il est soutenu dans sa démarche par le sénateur Bernard Germain de Lacépède (naturaliste et ancien musicien), qui écrit le 23 décembre au ministre de l'Intérieur pour présenter son cas ("Ce père de famille, si intéressant par ses talents, la réputation dont il jouit depuis longtemps, son zèle, ses longs services, les sacrifices qu’il a faits à notre patrie, son véritable civisme, l’estime qu’il a inspirée aux braves gens, le malheur et le besoin auxquels ses louables efforts n’ont pu le soustraire").

• 15 prairial an VIII (4 juin 1800), Paris : Pierre FÉRAY est inscrit sur le grand livre des pensions ecclésiastiques pour une somme annuelle de 1 000 livres. 

• 29 ventôse an IX (20 mars 1801), Paris : Le commissaire du gouvernement auprès du Théâtre de la République et des Arts informe le citoyen FÉRAY, artiste des chœurs, que conformément à l’organisation nouvelle que le ministre de l’Intérieur vient de donner au Théâtre des Arts, il ne sera plus compris sur les états de l’établissement. Une pension ou indemnité lui sera néanmoins octroyée.
• 2 germinal an IX (23 mars 1801), Paris : Le comte de Lacépède, sénateur, s'entremet une nouvelle fois en faveur du "malheureux et si intéressant cit. feray".
• 9 germinal an IX (30 mars 1801), Paris : Dans sa réponse à Lacépède, le ministre de l’Intérieur justifie sa décision. FÉRAY est un "père de famille" qui bénéficie d’une "recommandation bien respectable". Cependant, il était indispensable de faire des économies : "Je ne puis revenir sur la décision prise à l’égard du c[itoy]en ferray sans provoquer une foule de réclamations". Il lui donne cependant l’assurance qu’il saisira avec "empressement la première occasion d’employer utilement son zèle et ses talens". La suite prouve que l'administration a finalement renoncé à se séparer de Pierre FÉRAY.

• 4 janvier 1805, Paris : Pierre FÉRAY décède des suites d'une maladie dans son appartement du n° 53, rue de la Sourdière, division de la Butte des Moulins (loué 500 francs par an). Il est alors haute-contre dans les chœurs de l'Opéra et employé dans les bureaux de l'administration de la Légion d'Honneur, occupations qui lui rapportent respectivement 100 et 183 francs par mois. Sa femme est encore de ce monde ; ils n'ont plus d'enfant vivant.
• 10 janvier 1805, Paris : La valeur de ses meubles s'élève après inventaire à 1 581 francs. Parmi ceux-ci se trouvent un violon dans son étui et quatre cahiers de musique. Il vivait dans un confort certain, entouré de ses livres et servi par une domestique qui percevait 150 francs par an. Son unique héritier est son neveu Jean-Baptiste Féray, musicien à Moscou. L'ex-chanoine lui était très attaché, comme font plus que le suggérer les portraits à la peinture et au crayon disposés chez lui, le représentant en compagnie de son neveu.
• 13 janvier 1805, Paris : Dans une requête au directeur de l’Opéra, la veuve de Pierre FÉRAY rappelle que son défunt mari, reçu en qualité de haute-contre il y a neuf ans, a exercé gratuitement pendant les six premiers mois car ses appointements furent donnés à la veuve de son prédécesseur ; elle réclame donc ces six mois d’appointements comme "un acte de justice", plus si possible une indemnité en récompense du zèle du défunt. "Sa mort bien douloureuse Pour moi a toute sorte de titre me met dans la situasion la plus pénible", écrit-elle. La réponse du premier préfet du palais sera négative.

Mise à jour : 21 mars 2019

Sources
Almanach musical de 1775 ; Almanach musical de 1779 ; Almanach musical, 1776 ; An/ LL 232/33/3 ; An/ LL 232/34/2 ; Annonces, affiches et avis divers, 1766 ; Annonces, affiches et avis divers, 1769 ; Annonces, affiches et avis divers, 1771 ; Constant Pierre, Histoire du Concert spirituel ; F-Ad76/ 3E 001 RP 282 ; F-Ad76/ G 3674 ; F-Ad76/ G 9855 ; F-Ad76/ G 9856 ; F-Ad80/ 4G 2985 ; F-An/ AJ/13/45 ; F-An/ AJ/13/51 ; F-An/ AJ/13/57 ; F-An/ AJ/13/82 ; F-An/ ET/LXXXII/662 ; F-An/ ET/LXXXII/726 ; F-An/ LL 232/ 23/ 2 ; F-An/ LL 232/ 27/ 1 ; F-An/ LL 232/ 28/ 2 ; F-An/ LL 232/ 29 [1] ; F-An/ LL 232/ 29 [2] ; F-An/ LL 232/ 39/ 1 ; F-An/ LL 232/ 40 ; F-An/ LL 232/ 42 ; F-An/ LL 232/31/2 ; F-An/ LL 232/32/3  ; F-An/ LL 232/33/2 ; F-An/ LL 232/35/1 ; F-An/ LL 445 ; F-An/ LL232/38/2 ; F-An/ MC/ET/XIX/853  ; F-An/ S 840 ; F-An/ S 86/B ; Gallica ; LULLY, Persée, 1770, Le Concert Spirituel, Hervé Niquet, livret, Alpha, 2016 ; Le Journal de Musique, décembre 1770 ; Mercure de France, janvier 1770 ; Porcher, Une fête musicale à l'église cathédrale de Meaux..., 1869 ; Procès-verbal de l’Assemblée nationale ; Tablettes de renommée des musiciens

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