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Pour citer Muséfrem
CANNY, Jacques (1787 av.-1790 ap. fl.)
Autre(s) forme(s) du nom : CUNY
CUNNY
CASSY
CARRY
Date(s) : 1787 av. / 1790 ap.
On ne sait que très peu de choses sur la carrière de Jacques CANNY, si ce n'est qu'à la veille de la Révolution il fut chapier à la cathédrale de Bazas [Gironde], gros bourg de Guyenne situé à une soixantaine de kilomètres de Bordeaux.
• 1787 - 1790, Bazas : Le nom de Jacques CANNY apparaît dans les registres de la paroisse Saint-Jean-Baptiste, car sa qualité de chapier le conduit à être témoin de plusieurs sépultures. Certains actes mentionnent qu'il est clerc tonsuré.
• 1790, Bazas : Un état des dépenses du chapitre précise que la cathédrale emploie trois chapelains, dont les gages s'élèvent à 475 livres chacun. Jacques CANNY en fait toujours partie.
• 17 mai 1790, Bazas : Suite à la suppression du chapitre, les musiciens de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste adressent à l'Assemblée Nationale une supplique collective. On relève à côté de la signature du maître de musique et organiste Jean-Baptiste DESBLANCS, celles des bedeaux François DELAGE et Raymond SAINT-ESPÈS ainsi que celles des chapiers Jacques CANNY, Pierre BARNECHE et Pierre HEUDE. Ces deux derniers exerçant également comme chantres, on peut supposer que Jacques CANNY occupait aussi cette fonction à la cathédrale.
• 1er aout 1790, Bazas : Il est témoin d'une sépulture. Il ne figure plus ensuite dans les registres paroissiaux.
Après cette dernière date, on perd sa trace et on ne le retrouve pas dans le tableau de 1792 détaillant les pensions accordées à ses anciens collègues.
Dernière mise à jour : 20 juillet 2016