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Pour citer Muséfrem
BELTHOISE, Jacques (1788 av.-1791 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : BELTOISE
Date(s) : 1788 av. / 1791 ap.
Jacques BELTHOISE est l'un des très nombreux chantres paroissiaux que comptait la ville d'Orléans à la veille de la Révolution. De Pâques 1788 jusqu'à la suppression de sa paroisse en janvier 1791, il chante au lutrin de la petite paroisse de l'Alleu-Saint-Mesmin. Sans doute est-il fier de la fonction qu'il remplit, car il lui arrive de signer en la mentionnant : "Belthoise chantre" ou "jacques Belthoise chantre"
• 23 avril 1788, Orléans : Pour la première fois à cette date, dans la petite paroisse aisée de l'Alleu-Saint-Mesmin, au cœur d'Orléans, le curé Chesneau procède à une cérémonie de sépulture en présence de Jean ALLAIRE et Jacques BELTHOISE, qui ont remplacé les chantres précédemment attestés, Antoine BOYÉ et Nicolas GUÉRINEAULT. Signe aussi l'acte le sonneur Jean Poirier.
• 17 août 1788 : Jacques BELTHOISE affirme son identité cantorale en signant un acte de sépulture "Belthoise chantre".
• 11 février 1790, Orléans : À cette date, toujours à l'Alleu-Saint-Mesmin, un acte de sépulture est signé en toutes lettres "jacques Belthoise chantre". Sont également présents et signataires l'autre chantre Jean ALLAIRE, le sonneur Jean Poirier et "Chesneau Curé". Les quatre mêmes hommes sont attestés au coude à coude plusieurs autres fois durant l'année 1790 (24 mai, 13 novembre…) et pour la dernière fois le 16 janvier 1791.
Le dernier acte du registre paroissial est daté du 30 janvier 1791. Après quoi le registre se clôt, la paroisse disparaît. Les chantres aussi...
Mise à jour : 15 octobre 2019