Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
BARROT, Pierre (1788 av.-1791 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : BAROT
BARREAU
BARRAU
Date(s) : 1788 av. / 1791 ap.
Pierre BARROT est l'un des rares chantres de paroisse qui a pu être recensé comme étant actif à Bordeaux en 1790. Sa vie et la suite de sa carrière restent à retrouver.
• 17 septembre 1788, Bordeaux : Le nom de Pierre BARROT apparaît dans les pièces comptables de la fabrique de l'église Saint-Michel. Il reçoit 100 livres pour le quartier de son honoraire de chapier. Il exerce aussi comme chantre.
• 7 janvier 1789, Bordeaux : 24 livres d'étrennes lui sont versées. Il sollicite également une augmentation de traitement.
• 17 mars 1789 : La fabrique de l'église Saint-Michel le paiera désormais 112 livres et 10 sols chaque trimestre, soit 450 livres par an.
• 1790, Bordeaux : Pierre BARROT est toujours chantre et chapier à l'église Saint-Michel pour un salaire de 500 livres par an.
• 12 avril 1791, Bordeaux : Suite à la requête qu'il a adressée au Directoire du district de Bordeaux, il reçoit 112 livres et 10 sols pour les trois premiers mois de l'année.
• Que devient-il ensuite ?
Mise à jour : 8 août 2016